24 HEURES CHRONO
Transcript by Maluzo83 - Posted on Hypnoweb
Episode 702: 09H00 A.M. - 10H00 A.M.
© Twentieth Century Fox Film Corporation.
LES ÉVÈNEMENTS SUIVANTS SE DÉROULENT ENTRE 9 H 00 ET 10 H 00 DU MATIN
L'HISTOIRE SE PASSE EN TEMPS RÉEL.
PRÉCÉDEMMENT DANS 24
Président Taylor : Le débat est clos, Joe.L'ONU prend des résolutions et des sanctions économiques, alors que Benjamin Juma a massacré plus de 200 000 de ses citoyens. Ce nombre ne va cesser d'augmenter si nous n'intervenons pas.
Henry Taylor : Vous avez trouvé ?
-Oui, ça n'étaye pas votre théorie sur la mort de Roger. Mais c'est louche.
Henry Taylor : J'écoute.
-Son amie, Samantha, a reçu un très gros virement trois jours avant le suicide de Roger. Après son présumé suicide.
Henry Taylor : Je lui parlerai en personne.
Renée : Désolé, sénateur J'ai une assignation pour M. Bauer.
Sénateur : Il est interrogé par le Sénat des USA.
Renée : On a besoin de M. Bauer immédiatement.
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Renée : Le pare-feu PIC protège toutes les infrastructures majeures du pays. S'il est hacké, elles seront toutes vulnérables.
Jack : Le ministère de la Justice s'apprête à m'inculper. Je pourrai pas vous aider.
Renée : Un des hommes derrière cette menace est une de vos connaissances
Jack : Tony cherche à se venger en attaquant ce pays ?
Renée : Trouvons-le et vous lui demanderez.
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Jack : Où est Tony Almeida ?
Shector : J'ai rien à te dire.
Jack : Vous décidez.
Renée : Faites ce qu'il faut.
Shector : D'accord ! Je vais parler ! La dernière fois que je l'ai vu...
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Tony : Tu ne peux rien faire, le FBI non plus. T'en mêle pas.
Jack : Parle-moi, Tony.
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-GSA 117, ici Nord-Est 3.
-À vous, Contrôle aérien.
-Passez à 7 000.Ce sera mieux pour vous là-bas.
-Compris, Nord-Est 3. GSA 117, descente à 1 500.
-J'ai perdu contact avec GSA 117.
-Rappelez le FBI.
-Dites-leur qu'on a un 767 en approche qui ne répond plus.
CES ÉVÈNEMENTS SE DÉROULENT
ENTRE 9 H 00 ET 10 H 00.
-Quelqu'un a des nouvelles du Global Skies 117 ?
-Pas encore. On a tout essayé.
-Où est-il ?
-30 km au sud-ouest de JFK. Ici.
-On doit les avertir. Analysez le cap de l'appareil. Trouvez un point au sol où ils auront un contact visuel.
-Todd, regarde la liste des passagers. Trouve leurs numéros et essaye de les appeler.
-Rien sur les canaux d'urgence ? Ils n'ont parlé à personne et pourtant ils sont descendus à 1 500.Qui les a autorisés ?
- J'ai quelque chose.
- Quoi ?
- Écoutez ça. Enregistré juste après qu'on les a perdus.
« GSA 117, ici Nord-Est 3. Je vous écoute, Contrôle. Passez à 7 000. Maintenez-vous à 1 500. On nous a signalé des turbulences. Ce sera mieux pour vous là-bas. »
-Ils pensent qu'ils nous parlent !
-Bureau.
-Contrôle aérien Nord-Est 3. Passez-moi l'agent Moss. C'est urgent.
-Tout de suite. Agent Moss, je vous passe le Contrôle aérien.
Moss : Où en êtes-vous, Sid ?
Sid : Ceux qui ont hacké le pare-feu contrôlent un de mes avions. Ils s'adressent au pilote et se font passer pour le Contrôle. Si le pilote pense qu'il nous parle,il obéira aveuglément.
Moss : Mon Dieu...
-GSA 117, ici Nord-Est 3.
- Je vous écoute, Contrôle.
-Changement de piste d'atterrissage. Virez à droite vers 0-6-0. Réglez vos coordonnées radar pour la piste 3-1-gauche.
-Nord-Est 3, la météo sur JFK n'a pas changé.
-Une variation dans la direction du vent a engendré des courants descendants.
-Compris, Nord-Est 3. Nous virons sur 0-6-0.
Tony : Bien, ils changent leur cap.
Moss : Sid Paulson du Contrôle aérien vient de m'appeler. Le groupe d'Almeida contrôle leur système.
Janis : La NSA est dessus. Ils cherchent le point d'entrée, mais ils sont pessimistes.
Moss : Qu'ils nous disent plutôt comment les en sortir.
Sean : Ils l'ignorent, ils n'ont jamais rien vu de semblable.
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Jack : Je prends par derrière.
Renée : Larry sur le canal 2.
Moss : Je t'écoute. T'as réussi à faire parler Schector ? - Cette affaire s'aggrave.
Renée : C'est-à-dire ?
Moss : Almeida a épinglé un 767 en vol. Ils le contrôlent.
Renée : Dans quel but ?
Moss : Je l'ignore, mais on doit le trouver. Qu'est-ce que Schector a dit ?
Renée : Très peu, il a été tué.
Moss : Quoi ?
Renée : Un sniper, d'en face.On a bouclé l'immeuble. Il y est encore.
Moss : Tu vas bien ?
Renée : Oui, c'était bien visé.
Moss : J'envoie le SWAT fouiller l'immeuble.
Renée : Le SWAT arrive.
Jack : Vous avez un problème. Almeida m'a appelé juste après les tirs. Comment il a su que j'y étais ?
Renée : Il devait le surveiller.
Jack : Ça vient de chez vous.
Renée : Quoi ?
Jack : Quelqu'un du FBI doit le renseigner. Ils étaient les seuls à le savoir.
Renée : Non, je n'y crois pas.
Jack : Je croyais pas que Tony était un terroriste, mais on doit croire les faits, pas ce qu'on veut.
Renée : J'ai lu votre dossier. Je sais que vous ne croyez personne. Mes agents travaillent sans relâche. Ils ne sont pas corrompus.
Jack : Comment ce sniper est-il arrivé aussi vite ?
Renée : Almeida a fait suivre Schector.
Jack : On a passé 10 min avec lui. Un tireur ne se place pas aussi vite. Considérerez que vous avez une taupe et trouvez-la.
Renée : Vous deviez m'aider avec Schector, et non diriger cette opération.
Jack : Je devais retrouver Almeida. Je vous préviens, méfiez-vous de ceux qui vous entourent.
- M. Bauer, remettez-nous votre arme.
Renée : Agent Kilner, surveillez-le jusqu'à mon retour.
Kilner : Oui, madame. Par ici, monsieur.
09 :06 :13
Renée : Où en êtes-vous ?
- Toutes les sorties sont couvertes. Le SWAT établit un flux vidéo et on fouillera pièce par pièce. Si le tireur est ici, on le trouvera.
Renée : Il y est.
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Moss : Laisse Sean s'occuper de l'Aviation civile. Venez.
Sean : J'ai besoin d'elle. Moi aussi.
Moss : Le bureau de Schector a été visé par un sniper. On a 3 morts.
Janis : Là où est Renee ? Elle va bien ?
Moss : Oui. Je veux que tu les assistes. Renee croit que le tireur y est encore. Le SWAT est en route, coordonne ça avec eux.
Moss : La NSA a trouvé un moyen de les contacter ?
Sean : Non, mais un type qui bosse avec Latham dit que la façon dont le pare-feu a été hacké rend impossible tout contact.
Moss : Agent Moss. Vous avez du nouveau ?
Syd : La NSA patine. Et vous ?
Moss : On essaye d'appeler les passagers, mais sans résultat. Et l'Air Force ?
Syd : Ils ont envoyé un F-16, mais il est à 13 min de l'appareil. Je vous rappelle. Gus ! T'as pu forcer leurs canaux ?
Gus : Non, mais Almeida s'adresse au pilote. Il les fait atterrir sur la piste 3-1-gauche.
Syd : Ça paraît trop simple. Ils prennent pas le contrôle de l'avion pour le faire atterrir sur une autre piste. Qu'est-ce qui est en approche sur ton radar ?
-Tout me paraît normal.
Syd : Et GSA 117 ?
-Rien à proximité.
Syd : Que se passe-t-il ? Qu'y a-t-il ?
-Tous les écrans du quadrant Est sont bloqués.
Syd : Essaye les systèmes de sauvegarde.
-Ça marche pas. C'est bloqué.
- Le mien, aussi.
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Tony : Parfait, ils sont aveugles. Dirige le vol Sunrise dans un couloir d'atterrissage croisant celui du 117.
-SRI 35, ici Contrôle Nord-Est 3. Nous vous dirigeons sur une autre piste. Réglez vos coordonnées d'approche vers la piste 4-droite.
- Compris, Contrôle.
-Ils changent de cap.
09 :08 :48
Tony : Paulson. Comment sont vos écrans ?
Syd : Qui est-ce ?
Tony : Peu importe. Ce qui importe, c'est que je contrôle tous vos instruments.
Syd : Demande au FBI de situer l'appel. Que voulez-vous ?
Tony : Vous montrer ce qu'on peut faire. Jetez un oeil sur les caméras de surveillance de JFK.
Syd : Affichez JFK.
Tony : Un autre avion va atterrir sur la 4-droite. Il va croiser la 3-1-gauche.
Syd : Mon Dieu, ils vont entrer en collision ! Urgence maximale à JFK. GSA 117, remontez. Alerte-sécurité, remontez. Trafic sur la piste 4-droite.Remontez.
-Écrans et communications rétablies. Phil... Tout va bien.
Tony : C'était un simple avertissement. La prochaine fois, ça ne sera pas qu'un aperçu, mais bien réel.
Syd : Que voulez-vous ?
Tony : Vous le saurez bien assez tôt.
09 :16 :32
- Emerson est ici.
Tony : Préparez le module. Détache-le.
Latham : Qu'est-il arrivé à ces avions ?
Tony : T'inquiète pas pour ça.
Latham : Ils se sont écrasés ? Combien de gens avez-vous tués ? Nettoyez-le.
Emerson : Tout a marché comme prévu ?
Tony : L'essai du module sur terrains'est bien passé.
Emerson : Montre-le-moi.Bien. C'est notre génie ?
Tony : Exact.
Emerson : On devrait l'encourager ?
Tony : Ouais. Là où je l'emmène, il fera tout ce que tu veux.
Emerson : Je peux te parler une seconde ? Prenez le module. Dis-moi comment le FBI a pu retrouver Schector.
Tony : Grâce à un ancien collègue. Un agent de la CTU du nom de Jack Bauer.
Emerson : Je le connais.
Tony : Il ne posera plus de problèmes. Je me suis occupé de Schector avant qu'il parle. Je m'occuperai de Bauer aussi.
Emerson : Tu dois te concentrer sur la mission.
Tony : Tu m'as toujours rien dit dessus.
Emerson : Tanner t'en parlera à son retour.
Tony : Pourquoi pas maintenant ?
Emerson : T'as pas besoin de le savoir. Tony, on prépare ça depuis trois ans. Moins tu en sais, mieux c'est pour tout le monde. On finit ce boulot et on arrête. Du fric plein les poches, tu feras ce que tu veux.
Tony : D'accord. Je t'appelle quand Tanner sera là.
Emerson : Allons-y.
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-Je vais faire une déclaration.Y a-t-il des changements à faire ?
Ethan : C'est très bien. Rappelez-vous, ne dites pas quand l'offensive aura lieu, quelle que soit leur ténacité.
-Puis-je dire que la présidente va rencontrer Matobo ? S'ils demandent si elle voit en lui le successeur de Juma ?
Ethan : Nul besoin de le cacher. La présidente veut qu'il soit convaincu de son soutien.
- Merci.
-Mesdames et messieurs, bonjour.Malgré la condamnation internationale et les sanctions imposées par l'ONU, le général Benjamin Juma a refusé de cesser le génocide commis par son régime, depuis qu'il a pris le pouvoir. La présidente Taylor a convaincu le monde entier qu'une vaste offensive militaire des forces américaines et un renversement du régime de Juma sont le seul moyen de mettre fin au massacre d'innocents hommes, femmes et enfants au Sangala. Oui, là-bas.
-La présidente a-t-elle fixé un calendrier pour cette intervention ?
-Je l'ignore.
-Ethan : Allo
-L'Aviation civile vient de signaler une quasi-collision à JFK.
Ethan : JFK ?
-Oui, monsieur.
Ethan : Quand ça ?
-La présidente Taylor et l'ex-Premier ministre, Ule Matobo, se réunissent en ce moment pour établir une stratégie de reconstruction.
9 :21 :13
Matobo : Vous vous êtes tant battue pour avoir le soutien nécessaire à cette opération militaire. Mon pays vous sera éternellement reconnaissant.
Présidente Taylor : Ce sont nos soldats qui méritent votre gratitude. Ce sont eux qui risquent leur vie.
Matobo : Mais vous mettez en jeu votre avenir politique.
Présidente Taylor : Je n'ai aucune arrière-pensée. Arrêter Juma est la seule option. Mais... une fois écarté du pouvoir, il doit être jugé par un tribunal. Et non traité de manière à entretenir le cycle de violence.
Matobo : Juma a tué plus de 200 000 personnes, dont deux de mes frères. Nul ne peut connaître ce "cycle de violence" mieux que moi. Mais mes compatriotes veulent voir Juma puni.
Présidente Taylor : Alors, punissez-le conformément à la loi. C'est la seule façon d'amener la démocratie au Sangala. Nul ne doit être jugé en dehors de la loi. Pas même Juma.
Matobo : Je vous le promets.
Présidente Taylor : À présent, revoyons les derniers détails de l'opération avec mon secrétaire de la Défense.
Matobo : Bien sûr.
Présidente Taylor : Excusez-moi, M. Matobo. Qu'y a-t-il d'urgent, Ethan ?
Ethan : Le Contrôle Nord-Est 3 a signalé que 2 avions commerciaux ont failli se percuter à JFK. Heureusement, personne n'a été blessé.
Présidente Taylor : Almeida en serait l'auteur ?
Ethan : C'est lui. On a vérifié son empreinte vocale. Il a dit aux contrôleurs aériens que ce n'était qu'un "aperçu". Un coup de semonce.
Présidente Taylor : Que veut-il ?
Ethan : Ses mots exacts étaient : Vous le saurez bien assez tôt."
Présidente Taylor : C'est inacceptable ! Ce n'est que de la technologie. On doit pouvoir arrêter ces salauds.
Ethan : On a tout essayé, mais ce n'est pas aussi simple.
Présidente Taylor : Qu'ont-ils fait pour le trouver ?
Ethan : Le FBI va bientôt mettre la main sur un de ses associés.
Présidente Taylor : Quels sont leurs délais ?
Ethan : C'est difficile à dire.
Présidente Taylor : Commençons par interdire tous les vols inutiles, et réunir la Sécurité intérieure, le FBI, et la Défense.
Ethan : Bien, Madame.
-Qui est-ce ? Quitte pas. Tanner.
Tanner : Je suis bloqué dans l'immeuble. Le FBI le fouille étage par étage. Je vois pas comment leur échapper.
Tony : Je vois. T'es où exactement ?
Tanner : Au sous-sol. Près de l'escalier Ouest.
-On est au 12e étage.
-Reçu, Alpha.
-R.A.S. au 6e. On avance. Terminé.
-Charlie 2, on arrive au 5e. - Allez-y.
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-Je voulais vous dire. Ce qu'ils vous infligent au Sénat, c'est injuste.
Jack : Non, ça ne l'est pas. Il vaut mieux que ça sorte au grand jour. Nous avons fait tant de choses secrètes durant ces années au nom de la protection de ce pays que nous avons créé deux mondes : le nôtre, et celui des gens que nous avons juré de protéger. Ils ont droit à la vérité. Et ensuite, à eux de décider jusqu'où ils veulent qu'on aille.
-Quand même. Vous ne méritez pas d'être traité de cette façon. Pas après ce que vous avez fait pour notre pays. Et je ne suis pas le seul à le penser.
Jack : Merci.
-J'entre dans le sous-sol ouest.
-Reçu, agent Lennert.
-Je suis là pour te faire sortir.Tony m'a envoyé.
-Comment ? Mets ça. Le SWAT vient de passer dans l'escalier. Prends-le jusqu'au hall. Il y a une Ford grise garée derrière les immeubles. Vas-y.
-Ici Lennert. R.A.S. au sous-sol.
- Reçu. Alpha est au rez-de-chaussée. Rejoignez-les.
-J'y vais.
Jack : L'agent Walker, elle est bien, non ?
- Oui, monsieur. Elle sait faire ce qu'il faut, dans ce boulot.
Jack : Je peux sortir prendre l'air ? Ça a été une sacrée matinée.
-Bien sûr. Vous éloignez pas.
Jack : Merci.
Renée : J'ai reçu un rapport du central. Votre ami, Almeida, il a provoqué une quasi-collision entre deux avions avec le dispositif. Il menace de vraiment le faire.
Jack : Tous vos hommes sont représentés sur l'écran ?
Renée : Oui. Pourquoi ?
Jack : Ne réagissez pas, mais vous voyez ce type ? C'est votre tireur.
Renée : Comment c'est possible ?
Jack : Un de vos gars a dû l'aider. Vérifiez l'écran.
Renée : Pardon. Vous avez raison.On va voir s'il nous emmène à Almeida.
Jack : Non, il faut pas faire ça. Vous ne pouvez pas impliquer quelqu'un d'autre tant que vous ne savez pas à quel point votre équipe est infiltrée.
Renée : OK, vous suggérez quoi ?
Jack : On peut le faire seuls.
-Oui, agent Walker ?
Renée : Mettez plus d'agents sur le côté est. Le périmètre est insuffisant.
-Compris.
Jack : C'est la bonne décision.
Renée : On verra. J'ai besoin de votre véhicule.
09 :34 :26
-Nous avons reçu d'importantes informations. L'Aviation civile a confirmé une quasi-collision entre deux avions à l'aéroport En conséquence, les avions au départ sont maintenus au sol. Cette mesure sera prise pour les avions en vol à leur atterrissage.
Emerson : Écoute-moi, Latham. Obéis et tu resteras vivant. Compris ? Mettez-le dans l'entrepôt. Surveillez-le. Une démonstration efficace, n'est-ce pas, M. Dubaku ?
Dubaku : Très efficace. Le général Juma sera satisfait. C'est le module ?
Emerson : Comme promis. Et j'ai amené ici l'homme qui l'a fabriqué, en cas de besoin.
-Maintenant que la Présidence sait à quoi s'attendre, c'est peut-être le moment de lui faire part de vos revendications.
Dubaku : Préparez-vous. Votre gouvernement a tué mon frère et a essayé de me tuer. Ils vont payer cher pour...être intervenus dans nos affaires.
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-Les avions se posent sans incident jusqu'ici, mais ils ont montré leur puissance, et à tout moment, ils peuvent saboter le trafic aérien ou toute autre infrastructure protégée par le pare-feu.
PrésidenteTaylor : Combien de temps faut-il à la NSA pour régler le problème ?
- Madame, la mise au point du pare-feu a pris plusieurs années. Revoir le code prendrait des semaines ou des mois. Pour l'instant, la NSA ne sait pas.
PrésidenteTaylor : Quels sont, précisément, les systèmes vulnérables ?
-En tête de liste, le système de distribution d'énergie. Désactivé, des millions de gens seraient sans électricité. Une telle coupure aboutirait à des émeutes dans les grandes villes. Plus critique encore, le traitement des eaux et les systèmes de distribution. En sabotant des barrages et des usines de traitement, ils pourraient contaminer l'eau à grande échelle. On compterait des morts par empoisonnement et des pertes massives peu de temps après, en raison de la déshydratation.
Ethan : Y a-t-il un moyen de protéger ces systèmes ?
-Le seul moyen serait de les fermer. Il deviendrait rapidement impossible de fournir nourriture et eau à la population. Des troubles civils aggraveraient sans aucun doute la situation. Voilà Les dernières projections.
PrésidenteTaylor : Merci.
Ethan : Ethan Kanin.
-M. Kanin, ici l'agent Gedge Je suis avec le mari de la présidente.
Ethan : Où êtes-vous ? Qu'est-ce qu'il fait ?
Gedge : M. Taylor veut rencontrer l'ex-petite amie de Roger.
Ethan : Je pensais qu'il avait abandonné.
Gedge : Il croit que son fils a été assassiné et il essaye de le prouver depuis deux mois avec l'aide d'un privé engagé à l'insu de la présidente.
Ethan : Mon Dieu. Pourquoi je n'en ai jamais entendu parler ?
Gedge : J'en prends l'entière responsabilité. M. Taylor m'a demandé de garder ça en dehors de l'agenda officiel, mais là, ça échappe à tout contrôle. Je m'inquiète au sujet... de son état mental. Je crois qu'il faut en informer la présidente.
Ethan : D'accord. Merci, agent Gedge.
Henri Taylor : Agent Gedge ?
Gedge : Monsieur ?
Henri Taylor : Tout va bien ?
Gedge : Je faisais juste des vérifications.
PrésidenteTaylor : Des prévisions sur la solidité de nos bâtiments, c'est insuffisant. Les gouverneurs doivent préparer le déploiement de la Garde-Nationale. Et tant qu'on n'aura pas arrêté les coupables, il faut envisager d'augmenter le niveau d'alerte.
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Moss : On a procédé au confinement, et nous cherchons le suspect en ce moment même. C'est prioritaire. Compris, Monsieur. La présidence dirige et la Sécurité s'appuie sur nous. Il faut le trouver maintenant.
Janis : L'équipe de Dornan a presque fini ses premières recherches, mais il pense que le sniper est parti.
Moss : Je me fiche de ce qu'il pense. Ils avaient réussi à bloquer les sorties juste après les coups de feu. Il doit y être. Dites-leur de fouiller chaque recoin. Quoi ?
Janis : Dornan veut aussi savoir si on sait où est l'agent Walker.
Moss : Elle n'est pas là-bas ?
Janis : Elle est partie il y a 10 minutes sans donner de destination.
Moss : Et Bauer ?
Janis : Il est parti avec elle.
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09 :39 :04
Renée : Il y a plus de trafic. Prenez un peu de distance.
Jack : C'est bon.
Renée : C'est Larry.
Jack : Ne répondez pas.
Renée : Ça risque de l'inquiéter ou de lui donner des soupçons.
Moss : Dornan dit que vous êtes partis. Pourquoi ? Que se passe-t-il ?
Renée : Le SWAT a l'opération bien en mains. Je suis une piste.
Moss : Quelle piste ?
Renée : Une arme chez Schector. Il y a un numéro de série. Je veux le montrer à un indic.
Moss : Avec Bauer ?
Renée : Oui, il m'accompagne.
Moss : Il se passe quoi ?
Renée : De quoi tu parles ? Appréhender le tireur nous permettra de trouver Almeida et le dispositif.
Moss : Je pense pas que tu laisses tomber pour une piste que tu aurais pu déléguer.
Renée : Je ne vois pas où tu veux en venir.
Moss : Moi non plus. Bauer t'a embarquée dans quelque chose ?
Renée : Larry, tu me fais confiance ?
Moss : Tu connais la réponse.
Renée : Alors, crois ce que je te dis. On suit une piste, et je te mettrai au courant dès qu'on trouvera quelque chose.
Moss : Bien.
Renée : Bon sang ! Je n'aime pas ça. J'ai dû mentir à mon chef.
Jack : Il y a cru ? La voie est libre ?
Renée : Oui, je pense.
Jack : Bien. Merci.
Moss : Le talkie de Renee est actif ?
Janis : Oui. Il est ouvert.
Moss : Tu peux le trianguler ?
Janis : Ce système n'est pas vraiment fait pour ça. Je peux essayer.
Moss : Fais plus qu'essayer. Je veux savoir où elle est.
Janis : Tu peux pas l'appeler ?
Moss : Fais-le.
Janis : OK.
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Renée : Dans le bureau de Schector, quand vous lui soutiriez l'endroit où se trouve Almeida, jusqu'où étiez-vous prêt à aller ?
Jack : Vous m'avez dit de faire ce qu'il fallait.
Renée : J'ai dit ça pour faire peur à Schector, mais vous aviez prévu de le faire. Jusqu'où seriez-vous allé ?
Jack : Ça n'a plus d'importance.
Renée : Ça en a pour moi. Je mets ma carrière en jeu à cause de vous. J'aimerais savoir à quoi m'attendre.
Jack : Vous avez lu mon dossier.
Renée : Votre dossier ne dit pas comment vous justifiez ce que vous avez fait.
Jack : Récemment, j'ai répondu à pas mal de questions sur mon passé. J'en ai ma claque. J'ai dit que je vous aiderai à trouver Almeida, même à votre façon. Le FBI étant compromis, ce n'est plus une option. Je peux vous aider à le trouver, mais on doit le faire à ma façon. Ça pose problème ?
Renée : On verra.
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09 :48 :40
Henri Taylor : Vous pensez que c'est une erreur.
Gedge: Ce n'est pas mon rôle.
Henri Taylor : Et si ça l'était ?
Gedge : Les autorités ont déjà interrogé la petite amie de votre fils.
Henri Taylor : Pas à ce sujet. Ils ont conclu à un suicide sans chercher plus loin.
Gedge : Par ici.
Samantha : Même si le marché est plus calme, ne voulez-vous pas spéculer ? C'est tout ce que je peux faire. Vous savez que 10 000 actions ne suffiront pas. Un instant. Samantha Roth.
-Miss Roth, un agent des services secrets veut vous voir.
Samantha : Quoi ?
-Il est à la réception. Voulez-vous qu'on le conduise à votre bureau ?
Samantha : Non. J'arrive tout de suite. M. Taylor ? C'est plutôt une surprise. Comment allez-vous ?
Henri Taylor : Je voulais vous parler, en privé.
Samantha : Bien sûr. Je suis désolée, on ne s'est pas parlé depuis les funérailles de Roger. Ça a été tellement difficile pour moi.
Henri Taylor : Je suis au courant, pour l'argent.
Samantha : Pardon ?
Henri Taylor : 400 000 $ virés sur un compte offshore des îles Caïmans 3 jours après avoir découvert le corps de mon fils. Inutile de le nier. Je veux savoir qui vous a payée et pourquoi.
Samantha : "Payée" ?
Henri Taylor : Vous savez quelque chose, et on vous paye pour vous faire taire.
Samantha : M. Taylor, c'est faux.
Henri Taylor : Répondez à la question.
Samantha : L'argent... Il n'est pas à moi.
Henri Taylor : Comment ça ?
Samatha : C'est celui de ma tante. Elle a eu des soucis financiers depuis le décès de mon oncle, l'an dernier. Ça vient de ses investissements immobiliers. Je lui ai suggéré de le mettre sur un compte offshore pour le cacher aux impôts.
Henri Taylor : Vous voulez que je croie que vous avez eu l'idée d'une fraude fiscale, 3 jours après la mort de mon fils, l'homme que vous étiez censée aimer ?
Samantha : Je l'aimais. Et je vous dis la vérité. Vous devez me croire.
Henri Taylor : Non. Vous mentez.
Samantha : Si c'est ce que vous pensez, tout est dit...
Henri Taylor : Dites-moi la vérité.
Samantha : Lâchez-moi. Monsieur.
Henri Taylor : Vous savez qui a tué mon fils.
Samantha : Personne ne l'a tué. Il s'est suicidé.
Gedge : M. Taylor, on doit y aller.Maintenant.
Henri Taylor : Je trouverai ce que vous cachez, et quand je l'aurai trouvé, que Dieu vous aide.
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Tony : Tanner.
Tanner : Je suis sorti.
Tony : Bien reçu. Emerson a parlé à sa taupe, au FBI.T'as pas été suivi. Bien. Je dois me préparer pour la suite, dis-moi ce qu'il nous faut.
Tanner : Je te donne les détails en arrivant.
Tony : Où es-tu ?
Tanner : Je suis en train de me garer.
Tony : On se tient prêt. Quand Tanner arrive, on décolle. Commence à effacer le programme pendant qu'on remballe.
09 :52 :25
Jack : On peut pas aller plus loin, il va nous repérer. Accrochez-vous. Agent Walker, on doit y aller.
Renée :Tenez. Vous en aurez besoin.
Jack : Merci.J'y vais. Couvrez-moi.
Renée : J'y arriverai.Allons-y, maintenant.
Jack : Pose ton arme. Tout de suite. Tony Almeida est sur le bateau ? Est-il sur le bateau ?
Tanner : Je sais pas.
Renée : Peu importe. Almeida n'est pas notre priorité.Le dispositif, oui. On doit y aller.
Tony : La caméra de surveillance est HS. Va vérifier.
Jack : Couvrez-moi.
Renée : Bon sang.
Jack : Tony ! Arrête ! Merde !
Renée : Le dispositif a disparu. Les fichiers ont été effacés.
Jack : Où est-il ? Qu'est-ce qu'il t'est arrivé Tony ? Qu'est-ce qu'il t'es arrivé bordel ?
10 :00 :00