24 HEURES CHRONO
Transcript by Maluzo83 - Posted on Hypnoweb
Episode 707 : 14H00 PM - 15H00 PM
© Twentieth Century Fox Film Corporation.
LES ÉVÈNEMENTS SUIVANTS SE DÉROULENT ENTRE 14 H 00 ET 15 H 00
L'HISTOIRE SE PASSE EN TEMPS RÉEL.
PRÉCÉDEMMENT DANS 24
Présidente Taylor : C'était Bob Cornell, de la NSA. Le pare-feu a été contourné à nouveau.
Ethan : Il y a eu une autre attaque ?
Présidente Taylor : Non, mais ils pensent que le module est activé. Nous devons en déduire que Dubaku lance une nouvelle attaque.
- Madame la Présidente.
- Présidente Taylor : Oui, Tim ?
Tim : On vient de me transférer un appel crypté. C'est le colonel Dubaku. Il veut vous parler.
Dubaku : L'échéance pour le retrait de vos troupes est dépassée. Allez à la fenêtre. Regardez ce que vous avez fait. Obtempérez dans l'heure, ou 10 000 autres Américains mourront.
Vossler : Elle arrive.
Gedge : Je t'appelle quand c'est fait.
Samantha : M. Taylor, vous allez bien ?
Sean : Le labo a nettoyé l'enregistrement. « Walker est inutile. Tuez-la avant d'arriver. » Pas la peine. Ça ne donnera rien.
Moss : Bien. Aide Janis avec la NSA.
Sean : Désolé pour Renée. C'était un bon agent.
Moss : On ne sait pas si elle est morte !
Renée : J'ai consacré ma vie au FBI et je dois croire que tout le gouvernement est corrompu ?Pas tous.
Jack : Tant qu'on ne sait pas qui, on ne fait confiance à personne.
Renée : Et vous pensez pouvoir les arrêter ?
Jack : On a pas le choix.C'est aussi simple que ça. Dubaku vous veut, vous et votre femme. C'est le marché.
Matobo : Vous nous demandez de risquer nos vies en nous livrant à Dubaku.
Mme Matobo : Écoute-le, Ulé.
Matobo : Pourquoi lui faire confiance ?
Mme Matobo : Il n'a aucune raison de mentir.
Nichols : Comment ça va, Tony ?
Tony : Bien.
Nichols : Où est Emerson ?
Tony : Il est mort. Vous voulez Matobo ou pas ? Vous avez ce que vous voulez. Maintenant, dégagez.
Dubaku : Tout s'est bien passé ?
Nichols : On a les Matobo, c'est ce qui compte. La radio a parlé des avions.
Dubaku : La Maison Blanche n'obtempère pas.
Nichols : Qu'allez-vous faire ?
Dubaku : Tenir notre promesse.
-On est prêts.
Dubaku : Où est la cible ?
- À Kidron, dans l'Ohio.
Dubaku : Population ?
- 30 000. Il y aura beaucoup de victimes.
Dubaku : Commencez.
CES ÉVÈNEMENTS SE DÉROULENT ENTRE 14 H 00 ET 15 H 00.
Sean : On pense que c'est le camion qui transporte les Matobo.
Moss : Ça a été pris où ?
Sean : Près de l'aérodrome de Northwoods.
Moss : T'as pu le suivre ?
Sean : Pas au-delà de ce secteur. Mais ils ont pris l'avenue McKinley.
Moss : Transmets l'identification du véhicule à toutes les équipes de recherche.
Janis : J'ai trouvé quelque chose. Avec la NSA, on a remonté la filière de l'attaque contre les deux avions. J'ai trouvé un fragment de code qui pourrait venir de l'intrusion du module. Je vérifie la structure. Avec de la chance, on pourra déterminer leur prochaine cible. J'ai besoin de Sean.
Moss : Janis, je n'affecterai personne en vain. Dubaku menace de tuer 10 000 Américains dans les 30 minutes.
Janis : Je laisserai tomber dès que je sens que ça mène à rien.
Moss : Je vais informer la Maison Blanche. Tiens-moi au courant.
Sean : T'es sûre qu'il est apte à diriger l'opération ?
Janis : Mais oui.
Sean : Vraiment ? C'est toi qui m'as parlé de lui et Renée. Ça doit le toucher de plein fouet.
Janis : Si je pense que Larry est incapable de faire son boulot, je te le dirai. En attendant, ouvre-moi une nouvelle connexion.
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-« Vous êtes sur le portable de Brian Gedge. Laissez un message et je vous rappellerai. »
Ethan : Agent Gedge, j'attendais de vos nouvelles. Je dois parler au mari de la présidente au plus tôt.
-M. Kanin ?
Ethan : Rappelez-moi, Agent Gedge. C'est extrêmement important. Oui ?
- Larry Moss, du FBI.
Ethan : Alors, Larry ?
Moss : On pense avoir identifié le véhicule transportant les Matobo. On essaye de le localiser.
Ethan : Ça prendra combien de temps ?
Moss : Je ne peux pas dire, monsieur.
Ethan : Ça ne suffit pas, Larry. Si vous n'avez pas de résultats, il y aura une nouvelle attaque. Il y aura beaucoup de morts si vous ne trouvez pas Dubaku.
Moss : Sauf votre respect, monsieur, je sais ce qui est en jeu. Nous faisons de notre mieux. Un de nos agents est mort.
Ethan : Oui, je l'ai appris. Je suis désolé.
Moss : Je vous appelle quand j'ai du nouveau.
Ethan : J'y compte bien.
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Chloé : Les Matobo sont détenus dans un immeuble. Au 546 Adams.
Jack : T'as quoi sur cette adresse ?
Chloé : Je regarde. C'est le Ritter Building. 4 étages. Il a deux ans.
Jack : Et la sécurité ?
Chloé : Une minute.
Bill : On arrive.
Jack : J'ai besoin de votre aide.
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Nichols : Vous avez choisi une cible ?
Dubaku : L'usine chimique de Boyd, près de Kidron, dans l'Ohio. Le module nous a permis de prendre le contrôle du réservoir principal. On va déclencher une panne dans les valves de sécurité. Te souviens-tu de notre dernière rencontre, Ulé ? C'était un dîner officiel à ta résidence. Nous avons partagé un très bon vin. Je t'ai offert une poignée de main, et toi, tu l'as rejetée.
Matobo : Tu m'avais lancé un ultimatum : être la marionnette de ton armée.
Dubaku : Tu aurais pu faire une carrière de Premier ministre longue et prospère. Maintenant, tu vas rentrer au Sangala en tant que traître.
Matobo : Je suis Premier ministre. J'ai été élu par le peuple. C'est toi et Juma qui êtes les traîtres.
Dubaku : Non. Nous avons établi l'ordre au Sangala, mais tu essayes de détruire tout ce que nous avons construit. Tu vas retourner au Sangala et tu donneras les noms de tous les traîtres au général Juma.
Matobo : Jamais de la vie. Jamais.
Dubaku : Crois-moi, tu le feras. Emmenez-les.
Nichols : La présidente a réagi ?
Dubaku : Pas encore. Quand elle verra des Américains morts dans les rues, elle sera moins entêtée.
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Renée : J'arrive à l'accueil, Jack.
Jack : Bien reçu. Les Motobo sont toujours au 3e ?
Chloé : Affirmatif. On les déplace, mais je ne sais pas où encore.
Jack : Bien reçu.
-Bonjour.
Renée : Agent Walker, FBI. Je n'ai pas de rendez-vous. Je viens voir M. Roane - de Roane & Associés.
- Je les préviens.
Renée : Je ne veux pas être annoncée. C'est une visite officielle.
-Bien.
Renée : Vous ne m'avez pas vue, compris ?
-Oui, madame.
Renée : J'ai passé la sécurité. J'arrive aux ascenseurs.
Jack : On arrive à l'entrée de service.
14 :08 :46
Renée : Chloe, je suis au 3e.
Chloé : Le cabinet d'avocats est à ta gauche. À ta droite, il y a les bureaux dans lesquels sont détenus les Matobo.
Renée : Je les vois.
Chloé : L'escalier est sur ta gauche, au fond.
Jack : Agent Walker, on est à la porte.
Renée : Il y a un garde devant les bureaux, probablement armé.
Jack : Bill, prends le 3e étage. Attends mon signal. On y va. Chloé, On est dans l'ancienne salle machine, au 4e. Et maintenant ?
Chloé : Au centre de la pièce, il y a deux panneaux mobiles donnant accès sous le plancher.
Jack : Bien reçu. C'est bon, on y va. On y est.
14 :10 :56
Matobo : Je n'aurai jamais dû te laisser m'accompagner. C'était une erreur.
Mme Matobo : Ce n'était pas ta décision. Il ne nous arrivera rien. Jack Bauer sera bientôt là.
Jack : OK. On est à l'unité de chauffage.
Chloé : Tu vois la conduite d'aération qui sort de l'unité ? Suis-la sur 30 m jusqu'à une boîte de dérivation.Tourne à gauche et à 20 m, tu arriveras à la grille de ventilation. Tu pourras voir tout l'étage.
Jack : Et les Matobo ?
Chloé : On les a déplacés à côté de la zone principale.
Jack : Bien reçu.Venez.
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Sean : Toute la NSA trime sur le pare-feu à la recherche de la prochaine cible. S'il y avait quelque chose, ils le sauraient déjà.
Janis : J'ai pas besoin de ton pessimisme aujourd'hui. Encore le même fragment de code.
Sean : On a quoi à Kidron, dans l'Ohio ? Des installations sensibles ? Des cibles pour Dubaku ?
Janis : J'en sais rien. La Sécurité intérieure a listé les cibles potentielles. Je vérifie. Alors, rien à Kidron. Mais dans le comté voisin, on a Boyd Chemical.
Sean : Ils produisent quoi ?
Janis : Des insecticides. Tu me les passes ? Janis Gold, FBI. Puis-je parler au directeur de l'usine ? Madame, je suis du FBI. Comprenez-vous bien l'urgence ? Passez-moi John Brunner.
-Le FBI ?
-Passez-la-moi. Un instant Ici John Brunner.
Janis : Bonjour. M. Brunner, Janis Gold, FBI de Washington.
Brunner : Que puis-je pour vous ?
Janis : Nous avons repéré des intrusions dans le pare-feu gouvernemental. Celui qui protège les installations comme la vôtre.
Brunner : Je connais, ma belle.
Janis : Nous avons repéré et isolé une des intrusions à Kidron. Subissez-vous des dysfonctionnements ?
Brunner : Effectivement, oui.
Janis : C'est-à-dire ?
Brunner : Trois valves de sécurité du réservoir principal sont en panne. On perd le contrôle.
Janis : Que contient le réservoir ?
Brunner : De l'isocyanate de méthyle. Un insecticide concentré, très toxique. C'est quoi, le problème ?
Janis : Votre installation est probablement la cible d'un attentat terroriste.
Un attentat ?
Janis : Amorcez les mesures d'urgence et restez en ligne.
Brunner : Isolez le réservoir.
- Pourquoi ?
Brunner : C'est un ordre.
- Mince.
Brunner : Que se passe-t-il ?
- Pas de réponse.
Brunner : Ressayez.
-Rien. La pression du réservoir augmente.
Brunner : Putain de merde.
Janis : M. Brunner ?
Brunner : On n'arrive pas à isoler le réservoir et la pression augmente. Si on ne fait rien, on risque une contamination atmosphérique.
Janis : Ok ! Sean Préviens Larry que Dubaku attaque l'installation. Il faut avertir la présidente. M. Brunner, faites évacuer les lieux de suite.
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14 :18 :55
Ethan : Tenez-moi au courant, Agent Moss. Je parlerai à la présidente.
Tim : On a une alerte inter-agences. Le FBI a trouvé la cible de Dubaku. Une usine chimique, je sais.
Ethan : Je viens d'avoir Larry Moss. Je vais informer la présidente.
Tim : A-t-elle parlé à son mari ?
Ethan : Pas encore. J'ai eu l'agent Gedge il y a 40 min.
Tim : Seul M. Taylor peut la convaincre de retirer nos troupes du Sangala. C'est le meilleur moyen d'éviter l'attaque.
Ethan : Je le sais bien. J'attends son appel.
Présidente Taylor : Je ne suis pas satisfaite. Relisez-le.
-"Le colonel Dubaku et le régime de Juma ont tué des milliers de leurs concitoyens, et des centaines d'Américains. Ils méritent vos prières et votre indignation."
-"Indignation" est peut-être trop fort pour traduire le calme et l'autorité.
Présidente Taylor : "Indignation" est le mot juste pour ce que je ressens, et c'est ce que les Américains ressentiront. Ils ont droit à la vérité. Dubaku a déjà tué 300 de nos concitoyens. Dieu sait ce qu'il prépare. Entrez.
Ethan : Voulez-vous nous laisser, Angela ?
Présidente Taylor : Qu'y a-t-il ?
Ethan : Le FBI pense avoir localisé la prochaine attaque.
Tim : Dubaku contrôle une usine chimique à côté de Kidron dans l'Ohio. Il augmente la pression du réservoir à un niveau critique. S'il y a fuite, plus de 11 m³ d'isocyanate de méthyle seront relâchés dans l'atmosphère. Compte tenu des vents, un immense nuage toxique survolera la ville.
Ethan : L'isocyanate de méthyle est un insecticide concentré. Même une courte exposition cause de graves lésions pulmonaires et des brûlures.
Présidente Taylor : Combien de temps avons-nous ?
Tim Le réservoir peut lâcher d'ici 30 min.
Présidente Taylor : L'évacuation a commencé ?
Tim : Nous sommes en contact avec les militaires de Kidron, mais le temps manque pour évacuer la population.
Présidente Taylor : Kidron compte plus de 30 000 habitants. Les estimations prédisent plus de 50 % de perte ?
Tim : oui !
Présidente Taylor : Mon Dieu.
Ethan : Pour l'instant, notre seule chance d'arrêter ça, c'est de trouver Dubaku et le module.
14 :21 :23
Jack : Prête ?
Renée : oui.
Jack : Doucement.
Chloé : Je viens d'entendre que le FBI a identifié la cible de Dubaku. Une usine chimique à Kidron va lâcher dans 12 minutes. Il y a 30 000 habitants aux alentours. Il faut faire vite.
Jack : On fait le maximum. Passez-moi la caméra. Je passe en vision nocturne.
Renée : Dubaku n'est pas là.
Jack : Je vois Nichols. Trois hommes armés d'automatiques. Trois autres au poste de commande. Sûrement armés.
Tony : Bien reçu.
Renée : Voilà Dubaku.
Jack : On a Dubaku. Chloe, tu le vois ?
Chloé : Oui. Le poste de commande est un S-Dart. Il a un processeur assez puissant pour contrôler le module.
Jack : Bien reçu.
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Sean : La NSA essaie de contrer l'attaque au pare-feu.
Moss : Des résultats ?
Sean : Non, ils essayent encore.
Moss : Il leur reste moins de 10 minutes.
Sean : Ils le savent. Ils font au mieux.
Moss : On en est où à l'usine ?
Janis : Je les ai en ligne. Vous avez réinitialisé les cartes mémoire ?
Brunner : Trois fois, ma belle. On a perdu le contrôle du système informatique. J'ai ordonné l'évacuation de l'usine.
Janis : On m'appelle pas "ma belle" en général, mais on en parlera plus tard.
Brunner : Vous avez besoin de décompresser. Je me dirige vers le réservoir principal. Je vais tenter de réduire la pression manuellement.
Janis : Ça n'arrêtera rien.
Brunner : Non, mais on peut gagner quelques minutes pour l'évacuation. J'ai des milliers d'employés, ici. Je suis garant de leur sécurité. Restez en ligne. Je vais avoir besoin d'aide.
Janis : Bien sûr. Que puis-je faire ?
Brunner : Je n'ai pas les procédures de contournement. Pouvez-vous trouver celles du réservoir principal ?
Janis : Je les ai.
Brunner : Cherchez la séquence d'ouverture des soupapes d'urgence.
Janis : Ouverture des soupapes, je l'ai.
Brunner : Très bien. Vous allez...
Janis : Attendez, la procédure va relâcher des vapeurs toxiques dans la salle où vous vous trouvez.
Brunner : Je sais bien. Je porte un masque. Ça va aller. Donnez-moi la séquence.
Janis : Combien de temps vous avez ?
Brunner : T'occupes pas de ça, ma belle.
Janis : ok. Vous voyez les interrupteurs ?
Brunner : Oui.
Janis : Allez-y. Enclenchez-les de gauche à droite dans cet ordre : Deux. Huit. Sept. Quatre. Trois.
Brunner : C'est bon.
Janis : La soupape de secours se situe derrière vous à droite. Tournez-la dans le sens des aiguilles d'une montre.
Brunner : C'est bon, j'y arrive.
Janis : Une de bonne. Il en reste trois.
-La pression atteint les 400 psi.
Dubaku : Combien de temps avant la rupture ?
-7 minutes.
-On a un problème.
Dubaku : Quoi donc ?
- Une alerte. La caméra de surveillance sur le toit. Almeida et Bauer.
Dubaku : De quand ça date ?
- De 20 min.
Dubaku : Vous deviez tuer Almeida et Bauer. Bon sang, cet endroit devait être tenu secret.
Nichols : C'était le cas.
Dubaku : Qu'est-ce qu'ils font là ?
Nichols : J'en sais rien.
Dubaku : Comment ils nous ont trouvés ?
Nichols : J'en sais rien !
-600 psi.
Dubaku : Déconnectez le module. Lancez le transfert.
Nichols : Qu'est-ce que vous faites ? On y est presque.
Dubaku : On continuera d'un autre endroit.
Nichols : Autant en finir. On peut s'occuper d'eux.
Dubaku : On doit partir maintenant.
-Le module est déconnecté. Transfert en cours.
Sean : C'est quoi ce truc, bon sang ?
Moss : Quoi ?
Sean : La faille du pare-feu s'est refermée.
Moss : Quoi ? De quoi tu parles ?
Sean : Plus d'intrusion dans le pare-feu.
Moss : Comment ? La NSA ?
Sean : Je sais pas.
Dubaku : Apportez le module. Allez chercher Motobo et sa femme.
Jack : Bill On devrait choisir la deuxième option. Attaque sur deux fronts. Tony et toi par l'entrée principale, et nous d'ici.
Bill : Bien reçu.
Jack : Donnez-moi le C4.
Dubaku : Venez. Venez ! Prenez le module.
Jack : C'est bon.
Bill : C'est bon par ici. Vous avez Dubaku ?
Jack : Négatif !
Tony : Jack, j'ai le module. Il est détruit.
Renée : Jack C'est Renee. Les Motobo vont bien. Je les emmène au van.
Jack : Bien reçu. Bill et toi essayez de trouver Dubaku. Je couvre l'aile sud.
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14 :32 :34
Janis : John ? Vous êtes toujours là ?
Brunner : oui
Janis : Les terroristes sont sortis du système. Dites-moi ce qu'il se passe maintenant.
Brunner : Le mode de fermeture automatique s'est déclenché. La pression chute. Je pense qu'on va s'en tirer.
Janis : OK, génial. Vous devez sortir de là tout de suite.
Brunner : Je peux pas atteindre la porte.
Janis : J'envoie une équipe de secours. Elle est en chemin. John, s'il vous plaît, restez avec moi.
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Renée : Ils ont trouvé Dubaku ?
Chloé : Pas encore. La première patrouille est à 5 minutes.
Jack : Bien reçu.
Dubaku : Debout.J'ai dit... Debout !
-Ils arrivent.
Latham : Ne me forcez pas à faire ça.
Dubaku : J'irai chez toi, Michael. Ta femme me regardera tuer ta fille, et puis ce sera son tour. Fais ce que je dis. Sauve ta famille.
Jack : Montrez-moi vos mains ! - C'est Latham. Où est Dubaku ?
Latham : Désolé.
Jack : À couvert ! Ça va ?
Chloé : Jack, vous m'entendez ?
Jack : Oui, on va bien.
Renée : C'était quoi ?
Jack : Latham portait des explosifs. On a toujours pas Dubaku.
Renée : Quoi ?
Jack : Le module a été détruit. Reste avec les Motobo. Veille à leur sécurité.
Renée : La police arrive. Si vous êtes arrêté, l'opération tombe à l'eau. Vous devez sortir.
Jack : Bien reçu. Il est parti. On doit retourner à la planque.
14 :35 :59
Moss : Ils disent que la NSA et la Sécurité intérieure ne savent pas ce qui a stoppé l'attaque de l'usine. Ils cherchent encore.
Sean : Nous aussi. Janis envoie une équipe de recherche à l'usine. C'est pas logique.
Moss : Pourquoi Dubaku aurait stoppé l'attaque au moment d'infliger d'énormes pertes ?
Sean : Peut-être une défaillance du module ?
Moss : Je veux des réponses, pas des suppositions.
Sean : On fait tout ce qu'on peut.
Moss : Apparemment, ça ne suffit pas.
Sean : Je ne sais pas quoi dire. Vous êtes bouleversé à cause de Renée, mais vous fâcher contre moi ne nous avancera pas.
Moss : Si vous croyez que je crie à cause de Renée, vous vous trompez. Des milliers de vies sont en jeu. Voilà ce qui me préoccupe.
Sean : Désolé, monsieur.
Moss : Janis et toi travaillez avec la NSA. Localisez le module. Si on trouve le module, on trouve Dubaku.
Janis : Merci pour votre appel.
Sean : Janis, Larry veut que tu travailles avec la NSA pour essayer de remonter jusqu'à la source du code.
Janis : J'essayerai.
Sean : À qui tu parlais ?
Janis : Au chef d'équipe à l'usine.
Sean : Il disait quoi ?
Janis : L'usine est sous contrôle. Du produit s'est échappé, top peu pour faire des dégâts, et le site est sécurisé.
C'est bien.
Sean : Et le directeur ?
Janis : John Brunner.
Sean : Il va bien ?
Janis : Non Tu peux me rendre un service ?
Sean : Ça dépend.
Janis : J'aimerais retrouver sa famille. J'ai été la dernière à lui parler, je dois leur dire à quel point il a été courageux.
Sean : Je vais voir ça.
Janis : Merci.
Sean : Avant d'envoyer des fleurs, tu dois trouver où le module a été utilisé.
Janis : Je sais. Je m'en occupe.
14 :42 :43
Tim : Les équipes de nettoyage sont sur place, on continue l'évacuation sur un rayon d'1,5 km autour de l'usine.
Présidente Taylor : Des victimes ?
Tim : Une. Le directeur de l'usine. 13 ouvriers sont soignés pour des brûlures chimiques et de la fumée toxique.
Présidente Taylor : Pas d'autres intrusions dans le pare-feu ?
Tim : Non, madame. Il semblerait que la crise ait été évitée.
Présidente Taylor : Sauf que personne ne peut expliquer comment l'intrusion s'est arrêtée.
Tim : Le FBI ne sait pas encore comment, mais c'est arrivé.
Présidente Taylor : Ce n'est pas une explication.
Tim : C'était peut-être un autre coup de semonce.
Présidente Taylor : Non, Dubaku a déjà abattu deux avions. Il n'a pas peur de tuer.
Tim : En tout cas, soyons reconnaissants.
Présidente Taylor : Je n'accepte pas les bonnes nouvelles sans savoir d'où elles viennent. Tant qu'on n'en sait pas plus, je maintiens le niveau d'alerte.
-J'ai l'amiral Smith en ligne.
Présidente Taylor : Merci, Tim. Amiral ?
Ethan : Je cherche à joindre l'agent Gedge, et il ne décroche pas. Je suis sûr d'avoir le bon numéro. Je lui ai parlé il y a une heure. Il attendait le mari de la présidente devant l'appartement de Samantha Roth. Trouvez-le. Je me fiche de vos problèmes d'effectifs. Toujours pas de Gedge. Les services secrets ne savent pas où il est. Je dois en parler à la présidente.
Tim : Peut-être pas. La menace est levée pour l'instant. Elle est en ligne avec l'amiral Smith.
Présidente Taylor : Je n'autoriserai pas les frappes aériennes tant que le plan de reconstruction n'est pas prêt, et que nous n'avons pas de candidat viable. D'ici là, gardez vos troupes en état d'alerte. L'État Major s'impatiente.
Ethan : Madame la Présidente, nous devons parler de votre mari. Sa théorie sur la mort de votre fils, il ne l'a pas abandonnée.
Présidente Taylor : De quoi parlez-vous ?
Ethan : Il harcelle la petite amie de Roger. Il l'accuse de complicité dans la mort de Roger.
Présidente Taylor : Henry et moi en avons parlé avec le FBI, et il m'a juré que c'était de l'histoire ancienne.
Ethan : Il a trouvé un détective privé qui alimente sa théorie du complot et profite de lui.
Présidente Taylor : Appelez Henry.
Ethan : Désolé, je ne peux pas. Henry est injoignable.
Présidente Taylor : Je ne comprends pas.
Ethan : L'agent Gedge ne répond pas au téléphone. J'aurais dû vous le dire avant.
Présidente Taylor : Vous me dites que mon mari est porté disparu ?
Ethan : Les services secrets le recherchent. Ils vont à l'appartement de Mlle Roth. On saura bientôt ce qui se passe.
« Ordre prioritaire, code Charlie Zéro Charlie. Avis de recherche immédiat de l'Agent Gedge. À tous les agents disponibles, rendez-vous à sa dernière position : 404, Wilkinson Drive. »
Henry : Vous faites une erreur. Pensez-y.
Vossler : La ferme.
Henry : Vous n'avez encore tué personne. Vous n'avez pas à faire ça. Le plan de Gedge pour m'accuser est à l'eau. Si vous me tuez, ils sauront que c'est un meurtre et ils vous retrouveront.
Vossler : J'écoute.
Dubaku : Où est Gedge ? J'arrive pas à le joindre.
Vossler : Gedge est mort.
Dubaku : Comment ?
Vossler : Tout se déroulait comme prévu, mais ça a mal tourné. Taylor a tué Gedge, je sais pas comment.
Dubaku : Où est M. Taylor ?
Vossler : Il est ici.
Dubaku : Ne le tue pas, amène-le-moi.
Vossler : Oui, monsieur.
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14 :52 :33
Jack : M. le Premier ministre, madame, suivez-moi.
Bill : Chloé, Vérifie les enregistrements satellites du Ritter Building. Regarde si on voit Dubaku quitter les lieux. On doit le trouver.
Chloé : Il va me falloir 20 min.
Bill : Alors, ne perds pas de temps. Affiche les images du satellite, du trafic routier et du métro.
Chloé : Je commence par quoi ?
Bill : Le satellite !
Chloé : D'accord.
Jack : Il faut réévaluer la situation.
Bill : Comment ça ?
Jack : Ça devait être une opération d'infiltration. Vous avez été démasqués. On est recherchés. On est pas équipés pour trouver un homme parmi des millions. Il nous faut plus de moyens.
Bill : Tu proposes quoi ?
Jack : On doit contacter les autres services.
Bill : Le gouvernement ?
Jack : Oui.
Renée : On peut pas faire confiance.
Jack : On n'a pas le choix.
Tony : On peut pas leur faire confiance. C'est pour ça qu'on a coupé les ponts.
Matobo : On peut avoir confiance en Taylor.
Bill : Bien sûr, monsieur. Mais c'est son entourage, le problème.
Chloé : Jack a raison. On a besoin d'aide.
Bill : C'est trop dangereux.
Jack : On peut circonscrire l'information. M. Matobo nous permettra d'accéder à la présidente. On pourra alors lui expliquer ce qu'on fait.
Renée : Jack a raison. On a laissé beaucoup d'indices. On est vulnérables. On ne peut plus opérer seuls.
Matobo : Suis-je censé rester caché avec vous, et faire comme si ma femme et moi étions morts ou otages ? Je dois retourner à la Maison Blanche aider la présidente à sauver mon pays.
Mme Matobo : Laissez faire mon mari. Laissez-le appeler la présidente Taylor. Elle l'écoutera.
Jack : Bill, tu veux trouver Dubaku, à toi de décider.
Bill : Très bien. Appelle la Maison Blanche.
14 :54 :35
« Les représentants de Boyd Chemical ont assuré aux autorités localesque la crise était passée. Ça n'a pas pourtant pas suffi à rassurer les habitants de Kidron dans l'Ohio. Nombre d'entre eux ont trouvé refuge dans les communes voisines. Nous avons une victime confirmée à l'intérieur même des locaux alors que 13 employés de Boyd sont soignés... »
-Madame la Présidente ?
Présidente Taylor : Oui ?
-J'ai le Premier ministre Matobo en ligne.
Présidente Taylor : Matobo ?
-Oui, Madame.
Présidente Taylor : Vous repérez l'appel ?
-On a essayé, mais la ligne est sécurisée.
Présidente Taylor : Passez-le-moi. M. le Premier ministre ?
Matobo : Oui, Madame la Présidente.
Présidente Taylor : Comment allez-vous ?
Matobo : Dieu merci, nous sommes sains et saufs. Nous avons été secourus.
Présidente Taylor : Par qui ? Où êtes-vous ?
Matobo : En lieu sûr. Écoutez-moi attentivement. Ceux qui nous ont sauvés ont récupéré le module. Il a été détruit, votre pays ne risque plus rien dans l'immédiat.
Présidente Taylor : Qui sont ces gens, comment est-ce arrivé ?
Matobo : Je vous dirai tout de vive voix, mais en privé, je dois vous parler seul à seul.
Présidente Taylor : Pourquoi ?
Matobo : Ils vont me conduire à vous. Nous serons là dans 10 minutes.
Présidente Taylor : Je vous attends.
Ck : Ils ont tenté de repérer l'appel, sans succès.
Présidente Taylor : Ethan, venez immédiatement.
Ethan : J'arrive. Oui, Madame la Présidente ?
Présidente Taylor : Je viens de parler à Matobo.
Ethan : Pardon ?
Présidente Taylor : Il est sain et sauf.
Ethan : Que s'est-il passé ?
Présidente Taylor : Il nous le dira de vive voix. Il arrive. Il veut me voir en privé. Faites-le passer par l'entrée sud. Évitez d'ébruiter l'information.
Ethan : Entendu.
Chloé : J'ai préparé l'itinéraire. Une majorité de petites rues, mais moins de caméras.
Jack : Envoie-le sur mon téléphone. Allons-y. Dès qu'on sera devant le bâtiment, l'agent Walker escortera M. Matobo.
Tony : Jack !
Jack : Quoi ?
Tony : Je ne viens pas.
Jack : Pardon ?
Bill : Si le gouvernement met la main sur Tony, il sera arrêté.
Tony : J'ai fait quelques sales coups avant de rejoindre Bill.
Jack : Tony, fais-moi confiance...Tu dois assumer les conséquences.
Tony : J'y compte bien. Mais pas avant d'avoir attrapé Dubaku. J'ai une piste. Un type de l'équipe d'Emerson pourrait avoir des infos utiles.
Bill : Laisse-le faire. On serait jamais arrivé là sans lui.
Jack : D'accord. Mais promets-moi que quand on en aura fini, tu te rendras. On sera à tes côtés.
Tony : D'accord, tu as ma parole.
Jack : Bonne chance. Fais attention.
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-Je partais au boulot, j'ai eu envie de passer te voir. J'ai essayé de t'appeler.
Dubaku : Désolé, j'étais occupé.
-Ça va ? Tu as l'air épuisé.
Dubaku : La journée a été longue.
-J'espère que tu viens toujours dîner. Je fais des lasagnes. Et ma soeur a promis de ne plus te regarder de travers. Tu n'as pas oublié ?
Dubaku : C'est juste que j'ai des affaires à régler.
-Samuel, tu travailles trop. Chaque fois que tu viens dîner, tu passes ta vie au téléphone.
Dubaku : J'ai pas le choix, Marika. Pour qu'un jour, tu puisses quitter cet endroit atroce où tu travailles.
Marika : C'est là-bas qu'on s'est rencontrés.Ne l'oublie pas. À plus tard.
Vossler : J'écoute.
Dubaku :Tu as M. Taylor ?
Vossler : Oui. J'arrive dans 3 minutes.
Dubaku : Il y a une épicerie en bas de chez moi. Un de mes hommes t'y retrouvera. Emmènes-y Taylor.
Vossler : Qu'allez-vous lui faire ?
Dubaku : Assure-toi de ne pas être suivi.
15 :00 :00