24 HEURES CHRONO
Transcript by Maluzo83 - Posted on Hypnoweb
Episode 708 : 15H00 PM - 16H00 PM
© Twentieth Century Fox Film Corporation.
LES ÉVÈNEMENTS SUIVANTS SE DÉROULENT ENTRE 15 H 00 ET 16 H 00
L'HISTOIRE SE PASSE EN TEMPS RÉEL.
PRÉCÉDEMMENT DANS 24
Tim : Le FBI pense avoir localiséla prochaine attaque : une usine chimique à côté de Kidron dans l'Ohio.
Présidente Taylor : Combien de temps avons-nous ?
Tim : Le réservoir peut lâcher d'ici 15 min.
Ethan : Notre seule chance d'arrêter ça, c'est de trouver Dubaku et le module.
- Pression : 28 bars.
Dubaku : Combien de temps avant la rupture ?
-7 minutes.
-On a un problème.
Dubaku : Vous deviez tuer Almeida et Bauer. Comment ils nous ont trouvés ?
Nichols : Je sais pas !
- Ils sont dans le bâtiment.
Dubaku : Déconnectez le module. Lancez le transfert.
Tony : J'ai le module ! Il est détruit.
Renée : Les Motobo vont bien. Je les emmène au van.
Jack : Bien reçu. Bill et toi essayezde trouver Dubaku. On est pas équipés pour trouver un homme parmi des millions.Il nous faut plus de moyens.
-Bill : Le gouvernement ?
Tony : On peut pas leur faire confiance. C'est pour ça qu'on a coupé les ponts.
Matobo : On peut avoir confiance en Taylor.- Madame la Présidente, écoutez-moi attentivement. Ceux qui nous ont sauvés ont récupéré le module. Il a été détruit, votre pays ne risque plus rien dans l'immédiat.
Présidente Taylor : Qui sont ces gens ?
Matobo : Je vous dirai tout de vive voix, mais en privé.
- Présidente Taylor : Appelez Henry.
Ethan : Il est injoignable. L'agent Gedge ne répond pas au téléphone. Il attendait le mari de la présidente devant l'appartement de Samantha Roth.
Présidente Taylor : Vous me dites que mon mari a disparu ?
Vossler : Gedge est mort.
Dubaku : Comment ?
Vossler : Ça a mal tourné. Taylor a tué Gedge. J'ignore comment.
Dubaku : Ne le tue pas, amène-le-moi.
CES ÉVÈNEMENTS SE DÉROULENT ENTRE 15 H 00 ET 16 H 00.
- Vous êtes sûr de pas avoir été suivi ?
Vossler : Oui. Aidez-moi à le porter.
« Nous pouvons confirmer que les tragédies survenues dans le ciel de Washington et à Kidron dans l'Ohio étaient des actes terroristes. Mais je peux vous assurer que les responsables ne sont plus une menace pour notre pays. Leur tentative de nous empêcher d'intervenir contre le génocide au Sangala a échoué. Nous ne plierons pas devant les terroristes. Je viens de donner l'ordre à nos troupes d'engager les opérations de libération du peuple Sangalais. Nous sommes convaincus que le régime de Juma s'effondrera rapidement, et que la démocratie sera restaurée sous l'hégémonie du Premier ministre Ulé Matobo.
Dubaku : Vous deux, venez. Bien joué, agent Vossler.
Vossler : Je dois y aller.Je prends mon service à 16 h.
Dubaku : Allez-y. L'argent sera viré sur le compte habituel.
Dubaku : La pièce est insonorisée, M. Taylor. Il est inutile de crier ou d'appeler à l'aide. Elimu, enlève-lui son bâillon.
Henry : Fils de pute. La mort de mon fils, c'est vous.
Dubaku : Il a mis son nez où il n'aurait pas dû.
Henry : Vous ne vous en sortirez pas. Toute la ville sera à ma recherche.
Dubaku : Une seule chose devrait vous préoccuper, M. Taylor. Votre femme vous aime-t-elle assez pour renoncer à l'invasion de mon pays ? Pour votre bien, j'espère que oui. Active le brouilleur.
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Présidente Taylor : Nos services de police traqueront les responsables et les traduiront en justice. Je vous demande d'adresser vos pensées et vos prières à ceux qui ont perdu la vie aujourd'hui,
à leur famille et à leurs proches, et à nos troupes qui mettent leur vie en danger au nom de la liberté. Merci. Bon après-midi.
15 :05 :23
Ethan : Motobo est arrivé. Lui et les autres ont été introduits par l'entrée souterraine par des agents qui ont toute ma confiance.
Présidente Taylor : Matobo m'a dit que les personnes qu'il amène lui ont sauvé la vie et ont retrouvé le module.- Qui sont-ils ?
Ethan : Bill Buchanan, que vous avez rencontré, il me semble, quand il dirigeait la CTU, Renee Walker, un agent du FBI et Jack Bauer.
Présidente Taylor : Bauer...C'était un des ravisseurs. Ça n'a pas de sens.
Ethan : Je sais.
Présidente Taylor : Motobo m'a demandé d'écouter ce qu'ils ont à dire, et je suis prête à le faire. Faites-les entrer.
Ehtan : La présidente est prête.
Présidente Taylor : Si vous saviez comme nous sommes soulagés que vous soyez sains et saufs.
Matobo : Merci. Alama est avec les hommes de M. Buchanan, elle se remet.
Présidente Taylor : Que vous ayez subi une telle épreuve sur notre sol est une honte pour moi personnellement, et pour mon pays.
Matobo : Madame la Présidente, je m'inquiète pour le Sangala, pas pour moi-même. Puis-je vous demander ce que vous avez prévu pour l'invasion ?
Présidente Taylor : J'ai ordonné à nos troupes d'engager.
Matobo : Merci de tout mon coeur. Vous rendez un grand service à mon peuple, comme ces gens l'ont fait pour votre pays.
Présidente Taylor : Pardonnez-moi, premier Ministre, mais ça, j'ai du mal à le croire.
Matobo : Je vous assure que ce n'est pas ce qu'il paraît. Ils sont là pour s'expliquer. Veuillez m'excuser, Madame la Présidente, je dois aller discuter des plans de reconstruction.
Présidente Taylor : Je vous en prie. Je veux une explication tout de suite. Que se passe-t-il donc ?
Jack : Madame la Présidente, il y a 6 semaines, Bill Buchanan découvre que des membres de votre gouvernement travaillent pour Juma et le Colonel Dubaku dans le but d'influencer notre politique extérieure, votre politique extérieure, par rapport au Sangala.
Présidente Taylor : Vous réalisez que c'est une accusation scandaleuse ?
Jack : Oui, Madame. C'est malheureusement la vérité. Ça explique pourquoi tous les efforts pour arrêter Dubaku ont échoué.
Présidente Taylor : Bill, Pourquoi ne pas être venu me voir ?
Bill : Je ne savais pas à qui me fieroù si vous m'auriez cru. J'ai donc formé un petit groupe pour localiser et neutraliser Dubaku. Tony Almeida et, plus tard, Jack m'ont rejoint.
Présidente Taylor : Tony Almeida a mis le module dans les mains de Dubaku dès le début.
Bill : Utiliser le module comme appât était nécessaire à l'infiltration. Il devait nous mener à Dubaku.
Présidente Taylor : Beaucoup de gens sont morts dans ces avions, sans parler de ce qui aurait pu arriver à l'usine chimique de Kidron !
Renée : Madame la Présidente, je faisais partie de l'équipe du FBI chargée de retrouver le module, et je réponds d'eux. Les morts sont tragiques, oui, mais d'après moi, tout ce qu'ils ont fait a permis d'en sauver des milliers.
Présidente Taylor : Si je choisis de croire tout ce que vous me dites, que ferez-vous ?
Jack : Dubaku est le seul à avoir les noms de ceux qui vous ont trahi. Le trouver est primordial. On devra travailler dans l'ombre. Une seule fuite, et ils courront se cacher.
Ethan : On ne peut même pas impliquer le FBI et la Sécurité intérieure ?
Jack : Oui, tout à fait.
-Madame, Tim Woods au téléphone. C'est urgent.
Présidente Taylor : Passez-le-moi. Prenez un siège. Oui ?
Tim : Madame, désolé de vous déranger. Un appel de Iké Dubaku pour vous. L'identification l'a confirmé. C'est au sujet de votre mari.
Présidente Taylor : Mon mari ?
Tim : Oui, Madame. Je vous mets en relation.
Présidente Taylor : Ici la présidente Taylor.
Dubaku : J'irai droit au but, Madame la Présidente. J'ai votre mari. Je vous le prouve. Dites quelque chose.
Henry : Allison...
Présidente Taylor : Henry, tu vas bien ?
Henry : Je vais bien. Je m'excuse pour ce qui arrive. Pour l'amour de Dieu, ne les laisse pas m'utiliser pour t'influencer.
Dubaku : Voici nos exigences : Vous retirez les forces qui menacent mon pays, immédiatement et définitivement. De plus, Matobo doit être remis à mes hommes qui seront postés à l'est de la centrale de Stanswick. S'il n'y est pas à 16 h, ou si vous tentez de suivre ou d'arrêter mes hommes, ils quitteront la centrale, et votre mari mourra lentement et douloureusement.
Présidente Taylor : Vous n'oserez pas !
Dubaku : Coupe son doigt.
Présidente Taylor : Arrêtez ! Arrêtez !
Dubaku : Obtempérez, ou je vous l'enverrai morceau par morceau. Avez-vous compris,Madame la Présidente ?
Présidente Taylor : Oui, j'ai compris.
Dubaku : Si vous tentez de nous localiser,on le saura rapidement et je le tuerai immédiatement.
Ethan : Madame la Présidente, j'ai des nouvelles de l'équipe que j'ai envoyée chez Mlle Roth. Ils ont trouvé les corps de Samantha Roth et de l'agent Gedge. Gedge avait une drogue paralysante. Ce fait et les autres preuves semblent confirmer sa complicité dans le rapt d'Henry, ce qui confirme la corruption dont vous venez de nous parler. Madame la Présidente, le temps est compté. Il faut prendre une décision. Personne ne vous blâmera si vous suspendez, au moins temporairement, l 'invasion du Sangala.
Présidente Taylor : Combien sont morts dans les avions ? Combien ?
Ethan : Près de 300, Madame.
Présidente Taylor : Parce que j'ai refusé de changer ma position sur le Sangala. Comme pourrais-je demander aux Américains des sacrifices que je ne suis pas prête à faire ? Je ne peux pas renoncer. Je ne le peux pas.
Jack : Madame la Présidente, on peut essayer de retrouver votre mari avant 16 h.
Présidente Taylor : Dubaku l'a spécifiquement interdit. Et d'après vous, je ne peux me fier à aucune de mes agences.
Jack : Fiez-vous à moi. L'agent Walker est présumée morte, et je n'ai aucun statut. Dubaku ne peut pas nous traquer, car nous n'existons pas officiellement.
Présidente Taylor : Vous avez quitté votre service, et le Sénat vous considère comme un agent renégat. Comment puis-je savoir vers qui va votre loyauté ?
Jack : Avec tout le respect que je vous dois, demandez autour de vous.
Présidente Taylor : Que pourriez-vous faire en si peu de temps ?
Jack : Je peux rien promettre, mais on fera tout ce qu'on peut pour sauver votre mari. Vous devez vous plier aux demandes de Dubaku. Nous faire gagner du temps. Madame la Présidente, vous n'avez pas d'alternative.
Présidente Taylor : D'accord. D'accord. Trouvez-le, s'il vous plaît.
Jack : Oui, Madame. Il nous faut une ligne sécurisée.
Ethan : Utilisez cette pièce si vous voulez. Je vous ferai escorter jusqu'à la sortie quand vous le voudrez.
Jack : J'ai besoin des dossiers classés du couple présidentiel.
Ethan : Je vous les fais apporter.
Jack : Merci. On commence par l'agent Gedge. Il nous faut ses relevés téléphoniques. Je veux savoir à qui il a parlé ces dernières heures. On peut pas utiliser les services présidentiels. Merci.
Renée : Les relevés téléphoniques des agents assignés à la présidente sont protégés. Chloe peut y accéder ?
Jack : Quelqu'un d'habilité irait plus vite.
Renée : Larry Moss.
Jack : C'est pas le genre à sortir des clous.
Renée : Exact. Mais je peux le convaincre de nous aider.
Jack : Vous lui faites confiance ?
Renée : Oui. Nous nous connaissons bien.
Jack : Bien. Allez-y. Le temps presse.
-C'est Renee. Je suis en vie, mais ne le dis à personne, d'accord ?
Moss : Mon Dieu. Où es-tu ? Tu vas bien ?
Renée : Oui. Je t'expliquerai, mais on a besoin de toi.
Moss : Qui ça, "on" ?
Renée : Jack Bauer et moi.
Moss : Quoi ?
Renée : Il est avec nous, il disait vrai. Tout ce qu'il a fait, c'était pour rester infiltré.
Moss : Renée, je t'ai crue morte. Pourquoi tu m'as rien dit ?
Renée : Il y a une taupe au FBI. Bauer disait vrai. Personne ne doit être au courant. L'opération doit rester secrète.
Moss : Quelle opération ?
Renée : On est à la Maison Blanche. Ike Dubaku a enlevé le mari de la présidente.
Moss : On ne nous a rien dit.
Renée : C'est vrai. La présidente nous a demandé de le trouver. Peu de monde est au courant, et ça doit rester comme ça. Si on ne le trouve pas avant 16 h, ils le tueront. J'ai encore besoin de ta confiance. Aide-moi, je t'en prie.
Moss : Que dois-je faire ?
Renée : L'agent qui protégeait M. Taylor était impliqué, Brian Gedge. Il est mort. Vérifie son journal d'appels et donne-moi tout ce que tu as sur ses derniers contacts.
Moss : Je veux te voir pour m'assurer que tu n'es pas sous la contrainte.
Renée : On a pas le temps.
Moss : Ce n'est pas négociable. Si tu veux mon aide, sois devant le Capitole dès que possible.
Renée : D'accord. Je pense qu'il nous aidera, mais on doit y aller.
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« La présidente a confirmé que la menace terroriste est levée et que l'invasion aura bien lieu. Elle a déclaré que le premier ministre Matobo sera rétabli à la tête du Sangala au sein d'un gouvernement démocratique. »
Sean : Je pige pas.
Erika : Quoi ?
Sean : La présidente parle comme si le module et Matobo avaient été retrouvés, mais comment ça a pu arriver sans qu'on le sache ?
Erika : C'est juste que l'agence concernée nous a pas informés.
Sean : Quelle agence ? On nous dit pas tout, et j'aime pas ça.
Erika : On se voit, après ?
Sean : Je sais pas. J'ai des trucs à faire.
Erika : Quoi ?
Sean : Je dois rentrer chez moi. Ça fait une semaine que j'ai pas vu Christina.
Erika : D'accord. Ça va, Sean ?
Sean : Mais oui.
Erika : T'es un peu distant.
Sean : Je dois juste m'y remettre.
Janis : Excuse-moi. Tu pourrais être un peu plus discret ?
Sean : Comment ça ?
Janis : Te fiche pas de moi. T'as qu'à faire une pancarte disant que vous couchez ensemble. T'es débile ?
Sean : Je sais que c'est mal. Je vais y mettre un terme.
Janis : T'as intérêt à faire vite avant que Larry le remarque.
Sean : Il est où ?
Janis : Je sais pas. On s'en fiche. Ce qui compte, c'est que s'il vous attrape, il te transférera en Alaska si vite que ton ombre sera encore assise là.
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15 :23 :02
Moss : Bon Dieu. J'ai cru ne jamais te revoir.
Jack : Vous avez les relevés téléphoniques ?
Moss : Ces 3 dernières heures, il a eu plusieurs fois un autre agent, Edward Vossler. J'ai regardé son dossier. Avant les services secrets, il était aux Forces spéciales, et a servi deux ans au Sangala.
Renée : Vossler travaille pour Dubaku. Tu as son dossier ?
Jack : Il a une famille ?
Moss : Pouquoi ?
Jack : Est-ce qu'il a une famille ?
Renée : Il est marié depuis 5 ans. Ils ont petit garçon de 11 mois. Elle a démissionné pour s'occuper du bébé.
Jack : On va se séparer. Trouvez Vossler. Et vous irez chez lui voir sa famille. Il était dans les Forces spéciales. Il parlera pas en si peu de temps. Le seul moyen est de lui faire croire qu'on fera du mal à sa famille.
Moss : C'est hors de question.
Renée : Ça dépasse les bornes, Jack.
Jack : Vous avez dépassé les bornes en interrogeant Tanner.
Renée : C'est un assassin. La femme et l'enfant de Vossler sont innocents.
Jack : Quand vous rendrez-vous compte que personne ne suit vos règles ? Ils s'en fichent. Dubaku va tuer Henry Taylor d'ici 45 min si on ne le trouve pas. Vous avez deux possibilités : Vous pouvez appeler la présidente pour lui expliquer que votre conscience ne vous permet pas de le sauver. Ou vous pouvez faire le nécessaire. Choisissez !
Moss : Renée ?
Jack : Il me faut votre véhicule. Localisez le portable de Vossler. Trouvez son emploi du temps.
Moss : Regardez-vous. Vous avez tout perdu en faisant ce que vous pensez être nécessaire. Je vous laisserai pas la contaminer. Renee ne finira pas comme vous.
Jack : Vous me donnez vos clés ou pas ?
Moss : Ce sont les règles qui font notre valeur.
Jack : Pas aujourd'hui.
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15 :26 :25
-J'ai réduit l'hémorragie de Taylor, mais je peux pas l'arrêter complètement.
Dubaku : Le garrot est serré ?
- Au maximum.
Dubaku : Cautérise la plaie. Mikali a un chalumeau.
- Il risque de s'évanouir.
Dubaku : Mettez-lui juste un bâillon.
-Je veux pas qu'il se morde la langue.
Dubaku : hey ! Que fais-tu chez toi ? Je te croyais au travail.
Marika : J'en viens. Rosa m'a appelée au café. Elle a fait une crise.
Dubaku : Tu sais bien que ta soeur te manipule. Tu devrais pas lui répondre.
Marika : Elle n'a que moi Samuel. Sois gentil.
Dubaku : Tu es gentille pour nous deux.
Marika : Je voulais savoir si tu viens toujours dîner ce soir.
Dubaku : Je suis vraiment désolé, mais je peux pas. Une pile de bons d'embarquement m'attend.
Marika : Tu peux pas faire autrement ? On peut manger tard.
Dubaku : J'aurais beaucoup aimé. Désolé Marika. Écoute, chérie. Je me rattraperai, d'accord ?
Marika : Je ferai un peu plus à manger au cas où tu changerais d'avis.
Dubaku : Tu es trop gentille.
Marika : T'as bien raison. Je repars au café, Rose. Ça ira ?
Rosa : C'était qui ? C'était lui, hein ?
Marika : Arrête. Je sais que tu ne l'apprécies pas, mais je l'aime.
Rosa : Tu l'aimes ? Pourquoi ? Parce qu'il dépense de l'argent pour toi ? Parce qu'il paye notre loyer ? Tu ne le connais que depuis 4 mois.
Marika : Et alors ?
Rosa : Tu ne sais rien de lui. Et s'il te mentait sur son emploi ? Et si c'était un clandestin ?
Marika : Pas encore.
Rosa : Je veux juste te protéger.
Marika : J'ai pas besoin qu'on me protège.
Rosa : Si. Cet homme n'est pas...
Marika : N'est pas quoi ?
Rosa : Rien. Laisse tomber.
Marika : Désolée, mais j'ai pas le temps. Je rentre après le travail.
15 :28 :48
Ethan : On peut avoir l'air d'accepter la première condition de Dubaku en repliant la flotte. On lancera juste l'attaque de plus loin. La seconde est plus délicate. Si on livrait vraiment Matobo, on le mettrait dans une voiture.
Présidente Taylor : Hors de question. Sa sécurité prime.
Bill : Tout à fait. Mais on peut envoyer un sosie. Si on le fait bien, Dubaku ne verra la supercherie qu'au dernier moment.
Ethan : Espérons qu'on trouve Henry d'ici là. Madame la Présidente, avons-nous votre feu vert ?
Présidente Taylor : oui
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- Bauer.
Moss : J'ai localisé Vossler. Il est sur le périphérique au niveau de Bethesda, à 11 kilomètres de vous.
Jack : Bien reçu, je le suis. Où va-t-il ?
Moss : Selon les services secrets, il commence à 16 h. Il rencontre un dignitaire étranger sur la base d'Andrews. Vous savez qu'une fois qu'il sera dans la base, il sera intouchable.
Jack : Il devra revenir sur la 337 pour prendre l'entrée principale. Je vais prendre un raccourci. Ne le perdez pas.
Moss : Des nouvelles de Renee ? Elle est arrivée chez Vossler ?
Jack : Elle sait comment nous joindre si besoin.
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-J'arrive. Puis-je vous aider ? Qui êtes-vous ?
Renée : Faites ce que je dis, et vous vivrez peut-être. Pas un geste !
15 :35 :05
- Il est terrifié.
Renée : Restez où vous êtes ou je vous abats.
-Vous allez me tuer pour avoir consolé mon bébé ?
Renée : Asseyez-vous.
-Quel genre de personne êtes-vous ? Nous faire ça.
Renée : Demandez à votre mari.
-De quoi parlez-vous ? Edward est un homme bien.
Renée : Vous ne le connaissez peut-être pas assez bien.
- Il ne menacerait pas un enfant.
Renée : La ferme ! Mettez les menottes.
- Faites pas ça !
Renée : Maintenant !
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Jack : Où est-il, maintenant ?
Moss : Il est sorti à Beltway. Il est dans les embouteillages.
Jack : J'arrive au croisement d'Allenford et d'Auth. Je devrais y être dans 30 secondes. Dites-moi s'il bouge.
Moss : Il bouge.
Jack : Bon sang ! - La prochaine rue au nord ?
Moss : Baxter Drive. Mais elle est à sens unique
Jack : Bien reçu.
Moss : Il est au feu sur Allenford.
Jack : Je suis sur Baxter.
Moss : Il est à 15 secondes. 10 secondes. 5 secondes.
Jack : Je l'ai. Montre tes mains ! Maintenant ! Sors de la voiture ! Avance ! Où est-il ? Où est Henry Taylor ?
Vossler : Je sais pas de quoi vous parlez.
Jack : Où ?On va le faire à ta façon.
Renée : Oui ?
Jack : J'ai Vossler. Vous avez sa femme ?
Renée : Et son fils.
Jack : Vous êtes prête ? Mettez le haut-parleur. Parle à ta femme.
Vossler : Fils de pute.
Jack : Parle à ta femme !
Vossler : Carol ? Tu vas bien ?
Carol : Il y a une femme avec une arme. Elle menace de me tuer.
Vossler : Conner pleure ?
Carol : Mon Dieu, Edward. Que se passe-t-il ? Qui sont ces gens ?
Jack : Le temps presse.
Renée : Je veux pas avoir à faire ça.
Carol : Non, vous ne feriez...
Vossler : Que se passe-t-il ?
Carol : Je sais pas. Elle a Conner. Mon Dieu, elle fait quelque chose à Conner ! Lâchez mon bébé ! C'est qu'un bébé ! S'il vous plaît !
Vossler : Que faites-vous ?
Jack : Tu peux l'arrêter. Dis-moi où il est.
Carol : Pour l'amour de Dieu, dis-leur ce qu'ils veulent savoir ! Bon sang !
Vossler : D'accord, je vais vous le dire !
Jack : C'est bon. Je vous recontacte.
Renée : Votre bébé va bien.
Carol : Vous êtes un monstre !
Jack : Où est-il ? Dis-le ou la situation de ta famille va empirer. Où est-il ?
Vossler : Comment savoir si vous les tuerez pas quand même ?
Jack : T'en sais rien.
Vossler : OK. Il y a un marchand de fruits au 12451 avenue d'Arlington. Ils le gardent au sous-sol.
Jack : Les accès ?
Vossler : Un escalier au fond, mais il est verrouillé.
Jack : Dubaku y est ?
Vossler : Oui.
Jack : Combien d'hommes ?
Vossler : Au moins 4.
Jack : Sortez de là ! Éloignez-vous ! Reculez. Maintenant ! Bon sang. Stop ! Sortez de la voiture ! Dégagez !
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15 :45 :05
Bill : On doit faire croire qu'on va livrer Matobo le plus longtemps possible. Une fois au rendez-vous, restez éloigné des hommes de Dubaku. Laissez-les vous voir, mais ne sortez pas de la voiture. Ne les laissez pas s'approcher trop près. Dès que vous sentez que le risque est trop grand, sauvez-vous. Ordre de la présidente. Compris ?
- Compris.
Bill : Bonne chance.
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Renée : Jack ?
Jack : J'ai une adresse pour Henry Taylor. 12451 avenue d'Arlington. Un magasin. Il est retenu au sous-sol. Si vous y êtes avant moi, attendez. Dubaku a au moins 4 hommes armés.
Renée : D'accord.
Jack : J'appelle Bill pour l'informer Prévenez Larry.
Renée : Et Vossler ?
Jack : Il est mort. Il m'a attaqué. J'ai pas eu le choix. Vous allez bien ?
Renée : Non, je ne pense pas.
Jack : Qu'est-ce qui se passe ? Agent Walker, vous êtes là ?
Renée : Je suis pas...
Jack : Écoutez-moi. On en serait pas là sans vous. Personne ne vous reprochera si c'est au dessus de vos forces. Vous devriez arrêter.
Renée : Je le ferai. Demain.
15 :46 :50
L'agent Masden et moi sommes en route.
Ethan : On vous suit par satellite. Dites-moi quand vous arriverez à la centrale.
Présidente Taylor : Combien de temps pensez-vous gagner ?
Ethan : Avant que Dubaku réalise que Matobo n'y est pas ? 10 minutes, peut-être 15.
Présidente Taylor : C'est toujours 15 minutes de prises.
Bill : Madame la Présidente, je viens de parler à Jack Bauer. Ils pensent avoir localisé votre mari.
Présidente Taylor : Où ?
Bill : Avenue d'Arlington. Ils sont en route.
Présidente Taylor : Ils y seront quand ?
Bill : 10, 15 minutes.
Présidente Taylor : Merci.
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Erika : Ça vient de la Sécurité intérieure. Comme tu disais, on nous met à l'écart.
Sean : Merci. Vous avez vu ça ? La Sécurité intérieure baisse le niveau d'alerte sur ordre de la présidente.
Moss : J'ai vu le flash.
Sean : C'est bizarre, alors qu'on sait toujours rien sur le module.
Moss : Je vais leur en parler.
Sean : Ce que je veux dire... Ils font des trucs dans notre dos.
Moss : Je vais leur en parler. Excusez-moi.
Sean : Bien sûr.
Moss : Où es-tu ?
Renée : Je vais là où Henry Taylor serait retenu.
Moss : Alors Vossler a parlé.
Renée : Il a nous donné une chance de sauver le mari de la présidente.
Moss : L'adresse ? Je t'envoie le SWAT.
Renée : Tu peux pas faire ça. Il y a une taupe au FBI. Tous nos plans seraient compromis. Mais tu peux faire quelque chose.
Moss : Quoi ? Taire un incident jusqu'à ce qu'on sache ce que Jack et moi faisons.
Moss : Quel incident ?
Renée : Vossler est mort. Jack l'a tué à l'hôtel sur la 18e et Riggin. Légitime défense.
Moss : C'est ce qu'il t'a dit ?
Renée : Larry.
Moss : Bon sang, qu'est-ce que tu fous avec ce type ? Tu es censée ramener des suspects, pas les tuer.
Renée : S'il te plaît... Tant qu'on connaît pas la source de Dubaku, tu dois gérer ça en dehors du Bureau, OK ?
Moss : J'ai quelqu'un de confiance chez les flics. Il s'occupera de Vossler.
Renée : Merci, Larry.
15 :48 :15
-J'ai compris. Je lui dirai. Selon nos sources, Matobo vient de quitter la Maison Blanche.
Dubaku : Bien. Et les troupes américaines ?
-La flotte se retire des eaux territoriales du Sangala et s'est postée sur le 23e méridien.
Dubaku : Excellent.
-C'est Rosa.
Dubaku : Si tu cherches Marika, elle n'est pas avec moi.
Rosa : C'est toi que je cherche. Quel que soit ton vrai nom.
Dubaku : De quoi tu parles ?
Rosa : Ma soeur est naïve, mais pas moi. J'ai demandé à une de mes connaissances à l'Immigration de vérifier, et personne du nom de Samuel Aboa n'a émigré du Sangala l'année dernière, ou ces 15 dernières années.
Dubaku : Il doit y avoir une erreur.
Rosa : C'est toi qui fais erreur. Je ne sais pas qui tu es vraiment, et je m'en fiche. Je veux juste que tu sortes de la vie de ma soeur.
Dubaku : Marika est au courant ?
Rosa : Pas encore.
Dubaku : J'aimerais que ça reste comme ça. Tu n'en as parlé à personne ?
Rosa : Je veux pas qu'elle le sache.
Dubaku : Que veux-tu ?
Rosa : Romps avec elle, et ça reste entre nous. Tout s'arrête ce soir, et il n'y aura pas de problème.
Dubaku : J'ai un problème à régler. Appelle-moi quand on a Matobo.
15 :54 :56
Bill : Le véhicule censé livrer Matobo arrive à la centrale. Si on retarde encore, Dubaku va tiquer. Tu es arrivé ?
Jack : Presque. Combien de temps on a ?
Bill : J'en sais rien.
Jack : Walker et moi entrons dès que j'arrive. Je te tiens au courant.
Bill :Très bien, bonne chance.
-Ici Smith. Les hommes de Dubaku sont en vue.
Ethan : Compris. On vous suit sur satellite.
-Amenez-le.
-Ils nous ont ordonné de sortir.
-Un homme décroche son téléphone.
- Attendez.
-La voiture est là, mais il ne se passe rien.
Dubaku : Comment ça ? On leur a ordonné de nous livrer Matobo,
-mais personne ne sort du véhicule.
Dubaku : Les Américains nous ont manipulés. Détruisez le véhicule.
-Entendu.
- Ça suffit. Qu'ils évacuent.
- Retirez-vous. Évacuez immédiatement.
- Bien reçu.
Jack : Prête ? Allons-y. Sors du comptoir. Tout de suite ! Tu vas déverrouiller cette porte et leur demander ce qu'ils veulent manger. Au premier truc louche, je t'explose la tête, compris ? Ouvre.
-Vous avez faim ?
-Non. Apporte des bières.
Dubaku : Tuez Henry Taylor.
-On n'aura plus de moyen de pression.
Dubaku : On n'en a jamais eu. La présidente comptait le sacrifier. C'est terminé. Tuez Taylor et remballez.
-Compris.
Jack : Bon sang. Monsieur... On va chercher les secours. Restez avec moi. Appelez une ambulance !
16 :00 :00