24 HEURES CHRONO
Transcript by Maluzo83 - Posted on Hypnoweb
Episode 709 : 16H00 PM - 17H00 PM
© Twentieth Century Fox Film Corporation.
LES ÉVÈNEMENTS SUIVANTS SE DÉROULENT ENTRE 16 H 00 ET 17 H 00
L'HISTOIRE SE PASSE EN TEMPS RÉEL.
PRÉCÉDEMMENT DANS 24
Henry : Fils de pute. La mort de mon fils, c'est vous.
Dubaku : Madame la Présidente. J'ai votre mari. Retirez les forces qui menacent mon pays immédiatement et définitivement, ou votre mari mourra lentement et douloureusement.
Marika : Je voulais savoir si tu viens toujours dîner ce soir.
Dubaku : Marika, je ne peux pas. Je me rattraperai. Marika n'est pas avec moi.
Rosa : C'est toi que je cherche, Samuel. Quel que soit ton vrai nom Je ne sais pas qui tu es vraiment, et je m'en fiche. Je veux que tu sortes de la vie de ma soeur.
Renée : Tu veux bien taire un incident jusqu'à ce qu'on sache ce qu'on fait ?
Moss : Quel incident ?
Renée : Vossler est mort. Jack l'a tué à l'hôtel sur la 18e. C'était de la légitime défense.
Moss : Bon sang, qu'est-ce que tu fous avec ce type ? Tu es censée ramener des suspects, pas les tuer.
Renée : Tant qu'on ne connaît pas la taupe, tu dois gérer ça en dehors du Bureau, Dubaku est le seul à avoir les noms de ceux qui vous ont trahi. Le trouver est primordial.
Présidente Taylor : Vous avez quitté votre service, et le Sénat vous considère comme un agent renégat. Comment puis-je savoir envers qui va votre loyauté ?
Jack : Avec tout le respect que je vous dois, demandez autour de vous.
Jack : J'ai une adresse pour Henry Taylor.
Jack : Une ambulance !
CES ÉVÈNEMENTS SE DÉROULENT ENTRE 16 H 00 ET 17 H 00.
Renée : Ne laissez entrer personne d'autre. Suivez-moi. C'est le mari de la présidente, mais ça doit rester confidentiel.
-Compris ?
Jack : M. Taylor, ne parlez pas. Ménagez-vous. Par ici !
-Excusez-moi. Reculez, s'il vous plaît. Ici l'unité 6. On a une blessure par balle à la poitrine.
Jack : Du 9 mm.
-Du 9 mm, sous-sternale. Pouls rapide.
Jack : Ça va ?
Renée : Oui.
Jack : Je vais appeler la présidente. Fouillez partout, essayez de savoir où Dubaku est parti. -Jack Bauer. Passez-moi la présidente.
-Un instant, je vous prie.
Ethan : Ne perdez pas espoir.
Présidente Taylor : Dubaku sait qu'on a tenté de le duper. Il n'a pas de raison de garder Henry en vie.
-Madame la Présidente, Jack Bauer sur la ligne 1.
Présidente Taylor : Passez-le-moi. M. Bauer, ici la présidente Taylor.
Jack : Nous avons votre mari. Il est vivant, mais a reçu une balle dans la poitrine.
Présidente Taylor : Comment va-t-il ?
Jack : Les secours s'en occupent. Ils vont le transférer à l'hôpital d'Arlington.
Présidente Taylor : Donnez-moi plus de détails. Va-t-il s'en sortir ?
Jack : On en saura plus quand les médecins l'auront vu. Il a perdu beaucoup de sang.
Bill : Vous avez Dubaku ?
Jack : Non, il est parti avant notre arrivée. Votre mari étant le dernier moyen de pression de Dubaku, il doit essayer de quitter le pays.
Présidente Taylor : Vous savez comment il compte s'y prendre ?
Jack : Non. Tous ses hommes sont morts pendant l'assaut. L'agent Walker et moi allons rester pour fouiller le secteur. Le plan de sortie de Dubaku est sûrement prêt. Il va falloir le trouver rapidement.
Présidente Taylor : Merci, M. Bauer. Tenez-moi informée.
Jack : Oui, Madame. Je suis désolé.
Ethan : Je suis vraiment désolé, Madame la Présidente.
Présidente Taylor : Ethan, je vais à l'hôpital auprès de mon mari.
Ethan : C'est impossible. Vous dirigez une invasion militaire.
Présidente Taylor : Mes généraux la dirigeront très bien sans moi.
Ethan : Mais les services secrets sont compromis. Nous ne pouvons vous protéger hors d'ici.
Présidente Taylor : Peu m'importe. Je ne resterai pas dans ce bureau quand mon mari se bat contre la mort. Trouvez quelqu'un pour m'y conduire, ou j'irai à l'hôpital toute seule.
Bill : Madame la Présidente, vous connaissez mes états de service. Si ça vous convient, je suis prêt à assurer votre sécurité.
Ethan : Bill, vous n'êtes plus accrédité. Vous n'en avez plus le pouvoir.
Bill : Tant qu'on n'a pas capturé Dubaku, on ne sait pas Qui travaille pour lui. Vous ne savez pas à qui vous fier.
Présidente Taylor : Mais je peux me fier à vous.
Bill : C'est moi qui ai découvert le complot, j'espère le mériter.
Présidente Taylor : De quoi avez-vous besoin ?
Bill : Réhabilitez-moi, autorisez-moi à contrôler le personnel de la Maison Blanche, et permettez-moi d'affecter un de mes hommes au FBI qui apportera un soutien tactique à Larry Moss.
Présidente Taylor : Qui, en particulier ?
Bill : Chloé O'Brian. Je réponds d'elle.C'est la meilleure.
Ethan : Son accréditation a été révoquée à la dissolution de la CTU. Personne ne peut s'en occuper sans qu'on ait à la réintégrer ?
Bill : Dubaku paye un membre du FBI. Tant qu'on ignore son identité, on ne peut pas demander au FBI de traquer Dubaku.
Présidente Taylor : Très bien. La sécurité de la Maison Blancheest dirigée par l'agent Hovis. Il vous remettra les protocoles de sécurité.
Bill : Je le connais. Ça ne va pas lui plaire. Il ne se laissera pas faire.
Présidente Taylor : Étant donné que ses propres agents sont responsables de ce qui est arrivé à mon mari, je me fiche de lui plaire. Vous avez votre affectation provisoire avec mon autorisation.
Bill : Merci.
Présidente Taylor : Remerciez-moi en m'emmenant à l'hôpital.
Bill : Je m'en occupe.
Présidente Taylor : Je connais vos préoccupations, mais j'ai pris ma décision.
Ethan : Je ne fais que mon travail en veillant à vos intérêts.
Présidente Taylor : Mon intérêt, en cet instant, est de capturer Iké Dubaku. Il a tué de nombreux Américains, il a tenté de tuer mon mari, et il a corrompu notre gouvernement. Je veux qu'on retrouve ce fils de pute à tout prix.
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16 :06 :28
Marika : Samuel, qu'est-ce que tu fais là ?
Dubaku : Il faut qu'on parle.
Marika : J'ai une pause dans 20 minutes.
Dubaku : Non, maintenant. Viens.
Marika : Qu'est-ce qu'il y a ? Tu me fais peur.
Dubaku : Il est arrivé quelque chose. Je dois quitter le pays.
Marika : Quoi ? Quand ?
Dubaku : Immédiatement.
Marika : Je comprends pas. Tu reviens quand ?
Dubaku : Marika, écoute-moi. Je t'ai caché quelque chose. Mon visa a expiré il y a deux mois. Je suis clandestin. L'immigration m'a attrapé.
Marika : C'est ma soeur, c'est ça ? Elle t'a dénoncé ?
Dubaku : Ça n'a plus d'importance. Je dois quitter le pays ce soir, et je veux que tu m'accompagnes.
Marika : Ce soir ?
Dubaku : Marika, on en a déjà parlé. Je t'ai promis de t'emmener loin d'ici, de te donner le bonheur que tu mérites.
Marika : Samuel, je le veux aussi, mais pas ce soir, c'est trop tôt.
Dubaku : Marika, j'ai pas le temps de discuter avec toi !
Marika : Désolé. Je peux pas laisser Rosa. Elle a besoin de moi. Elle n'a que moi, tu le sais.
Dubaku : Je sais. Elle viendra avec nous.
Marika : Avec nous ?
Dubaku : Dès que possible. Je n'ai pu avoir des billets que pour nous deux ce soir. Mais promets-moi de ne rien lui dire pour l'instant.
Marika : Impossible. Je peux pas m'enfuir.
Dubaku : Elle nous causera des ennuis et nous empêchera de partir. Je te promets que ta soeur nous rejoindra quelques jours après notre arrivée. D'accord ?
Marika : Notre arrivée où ?
Dubaku : À Belize. Je t'ai montré les photos de ma maison. Tu m'aimes ?
Marika :Tu le sais.
Dubaku : Fais-moi confiance. Tu viendras ?
Marika : Je vais chercher mes affaires.
Dubaku : Il faut que je finisse les préparatifs. Va faire tes bagages. Je t'appellerai.
Marika : D'accord.
Dubaku : C'est moi. Tout est prêt ?
-Presque. C'est difficile de préparer un plan de vol depuis que l'Aviation civile a cloué presque tous les avions au sol.
Dubaku : Vous y arriverez. C'est bien pour deux passagers ?
- Comme convenu. Vous voulez vraiment partir maintenant ? Juma ne sera pas ravi d'apprendre que vous abandonnez la mission.
Dubaku : La mission est terminée. J'ai fait ce que j'ai pu. Si ça ne lui suffit pas, qu'il aille au diable.
-J'ai vos passeports et votre itinéraire. Je vous les apporte dans une demi-heure à l'endroit habituel.
Dubaku : On se retrouve dans le hall de l'hôtel Roosevelt.
-C'est une mauvaise idée. Il y aura foule à cette heure.
Dubaku : Je sais. On s'y retrouvera plus tôt. Dans 15 minutes. Allez-y.
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Renée : Il ne veut pas démarrer.
Jack : Le disque dur doit être mort. On va fouiller les corps. Commencez par lui.
Renée : Oui.
Moss : Renee, c'est moi. Bill Buchanan vient de me briefer. Comment va Henry Taylor ?
Renée :Il vient de partir en ambulance pour l'hôpital d'Arlington. Je connais pas son état.
Moss : Buchanan m'a parlé de la fusillade.
Renée : Oui, on a abattu 6 des hommes de Dubaku, mais Dubaku est parti avant notre arrivée.
Moss : Tu vas bien ?
Renée : Ça a été pire.
Moss : T'es sûre ?
Renée : Ça va, Larry.
Moss : Vraiment ? Je n'en suis pas si sûr.
Renée : Comment ça ?
Moss : J'ai reçu un fax de la Police de Washington. Une Mme Carol Vossler prétend qu'une inconnue armée l'a retenue en otage, et qu'elle a menacé de tuer son fils.
Renée : On en a déjà parlé. On devait le forcer à nous dire où était M. Taylor. C'était le seul moyen.
Moss : Faire ce qui est nécessaire. L'excuse de Bauer pour tous les choix immoraux qu'il prend.
Renée : Ça a marché. C'est pas rien, non ?
Moss : Il va être auditionné par la commission du Sénat, et toi, tu suis ses règles. T'as déjà la justice sur le dos avec cette affaire Tanner, et maintenant, ça.
Renée : Personne n'a été blessé.
Moss : Personne ? Il a tué le mari de cette femme ! Je te jure, je suis effrayé par ce qui t'arrive. Tu leur as fait vivre un enfer, et ça te fait même pas sourciller.
Renée : J'ai pas dit que ça me touchait pas. J'ai dit que ça avait marché. Bien sûr que ça me dérange. Je peux voir son visage. Ils me regardaient avec tellement... Elle se doutait pas que son mari était un assassin, un traître, et elle me regardait comme si j'étais le monstre. Quitte pas.
Jack : J'ai croisé les infos des PDA. Et je suis tombé sur des transactions. Toutes proviennent de comptes enregistrés à la même adresse.
Renée : C'est une planque ?
Jack : Tentons notre chance.
Renée : On a peut-être l'adresse de Dubaku.
Jack : 21 917 Euclid Street. Appartement 6.
Renée : On y va. On peut avoir une couverture satellite ?
Moss : Buchanan nous envoie quelqu'un, mais tant qu'elle est pas là, vous êtes aveugle.
Renée :On reste en contact.
Jack : Ça va, vous êtes sûre ?
Renée : Ça va. Allons-y.
16 :16 :35
« Le FBI continue d'enquêter sur les actes terroristes qui sont survenus dans la capitale et à Kidron dans l'Ohio. La présidente a tenté de dissiper les craintes en déclarant la fin des menaces. Des sources à la Maison Blanche ne confirment pas que tous les responsables ont été arrêtés. »
Morris : Pas besoin de moi, sûr ?
Chloé : Je couvre juste les opérations du FBI jusqu'à l'arrestation de Dubaku. Une fois arrêté, il nous dira qui est impliqué au gouvernement.
Morris :Et on pourra rentrer ?
Chloé : Et on pourra rentrer.
Morris : Sois prudente, d'accord ? Si Buchanan a raison et que Dubaku a quelqu'un au FBI.
Chloé : Je m'occupe de moi. Toi, occupe-toi de Prescott. Mon coeur, maman va travailler, tu seras gentil, d'accord ?
-Au revoir, maman.
Chloé : Toi aussi, sois gentil.
Morris : D'accord. Si t'es débordée, tu sais où me trouver.
Moss : Croise nos grilles avec celles de l'Intérieur. Vérifie les correspondances. Ensuite, vérifie les pointages.
Janis : Vous plaisantez ? C'est un job d'administration de merde, ça.
Moss : Je n'ai ni le temps ni l'envie de justifier mes choix. Fais-le.
-Chloe O'Brian vient de passer la sécurité.- Elle arrive.
Moss : Merci. Établis un VPN dans la salle de conférence.
Janis : Pourquoi ?
Moss : J'y installe un consultant qui va vérifier le pare-feu. C'est bon. Descendez-le. Larry Moss. Bienvenue au FBI.
Chloé : Appelez-moi Chloé.
Moss : Très bien, c'est juste ici. Vous êtes prête ?
Chloé : Oui.
Moss : L'Agent Walker et Bauer sont sur une piste. Ils sont en route pour cette adresse. Walker a demandé une couverture satellite. Qu'est-ce qui y a ? Un problème ?
Chloé : Tout le monde peut me voir. S'il y a une taupe, on devrait être plus prudents.
Moss : Pour eux, vous travaillez sur le pare-feu. Et il n'y a qu'ici que vous pourrez avoir un accès complet aux serveurs. Notre réseau ne supporte pas les contrôles à distance.
Chloé : C'est inefficace. Celui qui l'a monté ne savait pas ce qu'il faisait.
Moss : C'est moi.
Chloé : Autre chose ?
Moss : Vous avez longtemps travaillé avec Bauer, non ?
Chloé : 7 ans, plus ou moins.
Moss : Impressionnant. Vous avez survécu.
Chloé : De quoi parlez-vous ?
Moss : D'autres n'ont pas eu cette chance. Curtis Manning, Ryan Chapelle. Sa femme.
Chloé : Vous dites qu'elle est morte à cause de Jack ?
Moss : À votre avis ?
Chloé : C'est l'homme le plus digne de confiance et le plus honorable que je connaisse. Ne vous occupez pas de lui, mais plutôt de la taupe qui travaille pour Dubaku.
Erika : C'est Chloé O'Brian ?
Janis : Quoi ?
Erika : Dans la salle de conférence. Elle était analyste à la CTU. J'ai suivi son séminaire. Que fait-elle là ?
Janis : D'après Larry, l'Intérieur l'a envoyée pour vérifier le pare-feu.
Erika : Quoi ? C'est pas trop son domaine. De plus, elle est inactive depuis le démantèlement de la CTU.
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16 :21 :16
-Vos passeports et plans de vol. Un Hawker-Siddley 748 est prêt à partir de Taft Airfield. Soyez prêt à vous envoler pour les Îles Caïmans d'ici 30 min. Vous n'aurez aucun mal à rejoindre Belize de là-bas.
Dubaku : Il me faut une voiture et un chauffeur.
-Je supposais que vous en aviez.
Dubaku : Ce n'est pas pour moi.
-Je vois. C'est pour la fille. Je suis pas sûr de pouvoir trouver quelqu'un de confiance.
Dubaku : Vraiment ? Et votre homme au bar ?
- Pardon ?
Dubaku : Ou un de ceux au balcon ? Ou les deux dans la berline qui attendent que je parte. Me prenez-vous pour un fou, M. Burnett ? Je sais que je suis devenu gênant pour vous.
Burnett : Ils sont là pour assurer votre sécurité, pas pour la menacer.
Dubaku : Assurer ma sécurité. Trop aimable. Et dit avec une telle sincérité. Emportez ce message avec vous. Si quelque chose devait m'arriver, un accident ou une tentative d'assassinat, si l'avion si généreusement offert venait à exploser, une liste de noms et de comptes de tous ceux impliqués sera envoyée à la Justice.
Burnett : C'est inutile.
Dubaku : Et il en va de même pour Marika Donoso. Je vous jure qu'elle ne sait rien. Elle n'est pas une menace. Assurez-vous que votre chauffeur le sache. Vous avez compris ce que j'ai dit ? Dites-moi que vous m'avez compris pour qu'il n'y ait pas d'erreur.
Burnett : J'ai compris.
Dubaku : Bien. S'il y a une chose que j'ai apprise avec les mercenaires, M. Burnett, c'est qu'au bout du compte, ils ne se soucient que de leur survie. Bonne journée.
Burnett : Allo ! J'avais raison. Il suspectait qu'on allait l'éliminer, et apparemment, il a des preuves comme assurance. Nous devons nous assurer qu'il sorte du pays. Sinon, on est tous compromis. Je fais le nécessaire.
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Rosa : Qu'est-ce que tu fais ? Où tu vas ?
Marika : Rosa, écoute-moi. On part d'ici. Nous tous.
Rosa : Comment ça ?
Marika : Samuel m'a dit la vérité. C'est un clandestin, comme tu le pensais. Il doit quitter le pays, et je l'accompagne.
Rosa : Tu me laisses ? Seulement pour un petit moment. Tu nous rejoindras. Samuel a tout prévu. On va habiter dans sa maison à Belize.
Rosa : Il te ment.
Marika : Non. Je te laisserai pas faire ! Mon Dieu, Rosa. Je me suis occupée de toi toute ma vie. J'ai tout sacrifié pour toi. Laisse-moi ça.
Rosa : Je lui fais pas confiance.
Marika : T'as jamais aimé les hommes qui s'intéressaient à moi. Chaque fois que j'ai eu l'occasion d'être heureuse, tu as tout gâché. Pas cette fois.
Rosa : Je t'en supplie, écoute-moi. S'il te plaît.
Marika : Arrête. Bouge !
Rosa : S'il te plaît. Écoute-moi. Je t'en supplie...
Renée : FBI, ne bougez pas !
Jack : À genoux ! Maintenant ! Croisez les mains derrière vos têtes ! Tout de suite ! Ne bougez pas !
Renée : Rien à signaler.
Jack : Où est Dubaku.
Marika : Qui ?
Renée : Ne jouez pas avec moi. Iké Dubaku. Son compte bancaire est domicilié ici. Où il est ?
Rosa : On sait pas de quoi vous parlez.
Jack : Je vais vous faciliter les choses. Vous connaissez cet homme ? Vous mentez ! Pourquoi vous mentez ?
Rosa : Montrez-moi. C'est lui. On le connaît. Il se fait appeler Samuel Aboa.
Marika : Tais-toi, Rosa !
Rosa : Elle allait partir avec lui.
Jack : Où ça ? Où alliez-vous ?
Marika : Je ne sais pas.
Jack : Comment vous le connaissez ? Vous travaillez pour lui ?
Marika : Non.
Jack : Vous savez ce qu'il fait dans ce pays ? Vous avez la moindre idée de qui est cet homme ?
Marika : Il est toute ma vie.
16 :30 :32
Présidente Taylor : Infirmière ?
- Mitchell.
Présidente Taylor : Je désire voir mon époux.
-Je ne sais pas si vous pouvez. Où est Dr Schulman, le chirurgien qui va opérer mon mari /
Schulman : Madame la Présidente, Lee Schulman, le chirurgien de votre époux. Je vous conduis à lui, mais vous devrez faire vite.
Présidente Taylor : Merci.
Schulman : Vous devez savoir que l'opération durera au moins 5 heures. La balle a lacéré l'artère pulmonaire et se trouve dans la région thoracique. Il souffre aussi d'une hémorragie interne.
Pouvez-vous établir un pronostic ? Je suis une femme directe, monsieur. J'apprécie la franchise.
Schulman : Ses chances sont faibles. Mais je ferai au mieux. Veuillez m'excuser, je dois passer à la stérilisation.
Présidente Taylor : Chéri, tu m'entends ?
Henry : Oui, mon amour.
Présidente Taylor : Je suis là. Je m'en veux de ne pas t'avoir écouté pour Roger. Tu avais raison. Il ne s'est pas suicidé. Je l'ai appris. Tu as toujours eu raison.
Henry : C'était un héros.
Présidente Taylor : Oui. Tu en es un, toi aussi.
-Madame la Présidente, nous allons procéder à l'anesthésie.
Présidente Taylor : Bill, J'ai besoin d'un service. Je veux qu'on trouve ma fille Olivia et qu'on l'amène ici.
Bill : L'avez-vous mise au courant ?
Présidente Taylor : Nous ne nous sommes pas parlé depuis longtemps. Elle ne répondrait pas si je l'appelais. Elle est consultante chez Martling-Norris. Pouvez-vous envoyer un homme de confiance ?
Bill : Oui, madame. Je connais quelqu'un.
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Renée : Le voilà en uniforme de la garde présidentielle aux portes de la prison de Mukatu. Là, dans le stade après le massacre de Barakar. Ce qui lui a valu le surnom de "boucher du Sangala".
Marika : Arrêtez, je vous en prie. Quel est son vrai nom, déjà ?
Jack : Dubaku ! J'ai vu ce dont il est capable. J'étais en Afrique, il y quelques mois. Il a fait tuer un de mes amis. Je sais que c'est difficile. Je suis désolé. Vraiment. Mais on a besoin de vous maintenant.
Marika : Comment ?
Jack : On doit arrêter cet homme avant qu'il quitte le pays.
Rosa : Elle vous a dit qu'elle ne sait pas où il est.
Renée : Vous avez dit que vous devez le retrouver. Où ça ?
Marika : Il n'a rien dit. Je devais rentrer, faire mes valises et attendre son appel.
Jack : Donnez-moi votre portable.
Marika : Pourquoi ?
Jack : Quand il appellera, vous répondrez.
Marika : Je ne peux pas faire ça.
Jack : Vous pouvez. Écoutez-moi. C'est terminé. L'homme que vous croyiez connaître, celui que vous aimiez, il n'existe pas. Tout ce qu'il vous reste, c'est ses mensonges et sa trahison. C'est lui ? Je vous en prie. Vous devez juste lui répondre et lui parler pour découvrir où il veut vous rencontrer. Vous pouvez le faire. Essayez.
Dubaku : Tout va bien ?
Marika : Oui.
Dubaku : Pourquoi tu as mis si longtemps à répondre ?
Marika : Je faisais mes valises dans la chambre. Où es-tu ?
Dubaku : Qu'y a-t-il ? Ta voix n'est pas normale.
Marika : C'est à cause de Rosa. Elle m'a vue me préparer. On s'est disputées.
- Dubaku : Elle va poser problème ?
Marika : Non. Désolée, Samuel. Mais j'ai dû tout lui dire. Je n'avais pas le choix. Mais elle a compris.
Dubaku : Tu en es sûre ?
Marika : Oui, elle est d'accord. Je lui ai dit qu'elle nous rejoindra dans quelques jours.
Dubaku : Elle ne sait pas la chance qu'elle a de t'avoir pour soeur. Tu es prête à partir ?
Marika : Presque.
Dubaku : Dépêche-toi. Je t'envoie une voiture Elle va arriver bientôt. Va l'attendre en bas.
Marika : Pour aller où ?
Dubaku : Ne t'en fais pas. Le chauffeur sait. Je veux que la femme que j'aime attende en bas dès que possible.
Jack : Très bien. Bon travail.
Renée : On a une adresse ?
Jack : Non. Il envoie une voiture. Suivez-moi. Personne en bas de la rue.
Renée : On peut faire dire au chauffeur où est Dubaku.
Jack : On n'est pas sûrs qu'il parlera. Si on tarde trop, Dubaku n'attendra pas.
Renée : On fait quoi ?
Jack : Elle doit y aller.
Renée : Quoi ?
Jack : On peut la suivre avec son téléphone.
Renée : Qu'elle aille avec Dubaku ?
Jack : On n'a pas le choix. Si on veut Dubaku, c'est notre chance. Je dois vous demander un service. Vous n'êtes pas obligée. Mais on voudrait que vous montiez dans la voiture, et on vous suivra jusqu'à Dubaku.
Marika : Que dites-vous ?
Rosa : Vous voulez qu'elle aille le voir ?
Jack : On n'aura pas d'autre chance de l'avoir avant qu'il disparaisse.
Marika : Je vous aiderai. Je vais le faire.
Rosa : Je suis ta grande soeur, et je te l'interdis.
Marika : C'est à moi de décider, pas à toi. Et je dois le faire.
Jack : Donnez-moi votre portable.
Marika : Que faites-vous ?
Jack : Je prends le numéro SID. On vous suivra comme ça. On ne vous laisse pas seule. L'agent Walker et moi, on ne sera jamais plus loin que 2 km. Dès que vous arriverez, on interviendra.
Rosa : 2 km. Tu es folle ?
Marika : Arrête, Rosa.
Rosa : Tu l'as entendu. C'est un meurtrier ! Il peut te faire du mal.
Marika : Mais non. Rosa, j'aurais dû t'écouter.
Rosa : Ma chérie.
Marika : Tu m'avais mise en garde.
Rose : Écoute, je t'ai dit tout ça parce que j'étais jalouse. Et je ne voulais pas te perdre.
Jack : Larry, c'est Jack. Vous avez quelqu'un pour nous épauler ?
Moss : Elle est arrivée. Je mets le haut-parleur.
-Jack, c'est Chloé. Tu veux quoi ?
Jack : En combien de temps tu peux tracer un portable ?
Chloé : Avec leur système qui marche à l'envers, ça prendra quelques minutes.
Jack : D'accord. Je te donne le numéro SID. 1-C-4-8-6-8-9. Tu l'as ?
Chloé : C'est bon.
Moss : Qui suivez-vous ?
Jack : Une femme proche de Dubaku. Il la fait chercher.
Moss : Elle travaille pour lui ?
Jack : C'est un peu plus compliqué.
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16 :43 :55
Olivia Taylor : Arthur , Vous ne trouverez pas de cabinet avec des consultants plus chevronnés pour une entreprise aussi petite que la vôtre. Mon cabinet a conseillé au gouverneur d'échanger la taxe foncière et la taxe de vente dans la réforme budgétaire. Dexter-Carr a économisé un paquet avec ça.
Arthur : En effet, Olivia. Mais comme c'est vous que je veux engager, je veux savoir ce que vous pouvez faire.
Olivia Taylor : Tout ce que vous voulez. Vous avez lu mon CV.
Arthur : Et influencer la Maison Blanche ? Compte tenu de votre famille.
Olivia Taylor : Nous ne faisons pas de lobbying. C'est spécifié dans le contrat.
Arthur : Mais comme la présidente vous écoute...
Olivia Taylor : C'est faux. Est-ce un problème ?
-Mademoiselle Taylor ?
Olivia Taylor : Je vous connais ?
- Je suis Aaron Pierce. Votre bureau m'a dit où vous étiez. J'ai été détaché à la demande de la présidente.
Olivia Taylor : Selon votre plaque, vous êtes retraité. On ne vous a pas dit que j'ai refusé la protection des services secrets.
Aaron : Je suis au courant, madame. C'est une circonstance particulière.
Olivia Taylor : Comme vous le voyez, je suis occupée pour le moment. C'est pas le moment.
Aaron : Je me permets d'insister.
Arthur : Vraiment... Ça va.
Olivia Taylor : Non. Non, ça ne va pas. Qu'y a-t-il de si important pour que ma mère m'empêche de faire des affaires ?
Aaron : Je ne suis pas autorisé à le dire. Cette information est confidentielle.
Arthur : On reprendra cela plus tard.
Olivia Taylor : Arthur, attendez...
Arthur : On reste en contact.
Aaron : Madame, s'il vous plaît.
Olivia Taylor : Je n'irai nulle part sans savoir de quoi il s'agit.
Aaron : C'est votre père, Mlle Taylor. On lui a tiré dessus. Il est en chirurgie à l'hôpital d'Arlington. Votre mère y est déjà. Tout ceci est confidentiel.
Olivia Taylor : Mon Dieu...
Aaron : Ma voiture est dehors.
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16 :46 :03
Janis : Excuse-moi, Sean. Je peux avoir la clé bêta du serveur ?
Sean : Pour ?
Janis : Larry l'a demandée. C'est lié au contrôle du pare-feu.
Sean : Pourquoi il vient pas lui-même ?
Janis : Je sais pas.
Sean : Je vais lui demander.
Janis : Non. Ok, Je pense que Larry a amené cette Chloé O'Brian pour me remplacer. Je veux juste jeter un œil sur son travail. C'est tout.
Sean : C'est assez pour qu'on perde nos boulots.
Janis : Je devrais peut-être arrêter de te couvrir.
Sean : De quoi tu parles ?
Janis : Votre petite histoire de cul avec Erika. J'ai rien dit à Larry ou à ta femme. Je pense que tu aimerais que ça reste comme ça.
Sean : Tu sais que t'es une salope ?
Janis : C'est toi la salope.
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Chloé : Le lien est fait, j'ai le signal.
Jack : Bien reçu. Je te rappelle. On y est. On doit y aller.
Rosa : Vous, FBI. Protégez-la, vous m'entendez ?
Renée : D'accord.
Marika : J'ai vraiment peur. Ça va aller. Rappelez-vous, on est juste derrière.
Renée : Attendez là. Si vous avez des ennuis, prévenez-nous en composant le 1-0...
Jack : Non, ne faites pas ça. Ne faites rien qui éveille la suspicion du chauffeur. Vous êtes prête ?
Marika : Oui. Ok.
Jack : Qu'est-ce que vous faisiez ?
Renée : Elle avait peur. Je voulais qu'elle ait une autre option que d'attendre notre intervention.
Jack : Si on veut Dubaku, il n'y a pas d'autre option, compris ? C'est pas votre première fois.
Renée : Pas sans support tactique, et deux unités de renfort sur les lieux. Elle est exposée, j'aime pas ça.
Jack : On ne parle pas de vous. Mais d'elle et de Dubaku. La vie est moche, des innocents sont blessés, c'est une réalité. Au moins, elle a le choix de s'impliquer, de faire ce qu'il faut. Je peux pas en dire autant des victimes de Dubaku. Notre boulot, c'est d'attraper Dubaku. Le reste ne vous regarde pas. Chloé, la voiture est là.
Chloé : Bien reçu.
Jack : Elle monte.
Chloé : Bien reçu.
Jack : Elle bouge. Tu les as ?
Chloé : Oui, je les ai, ils vont vers le sud sur la 14e. Envoie leur position sur le PDA de l'agent Walker.
Chloé : Non je ne peux pas, je vais vous diriger.
Jack : Faut qu'on soit près. Compris.
Chloé : Va vers la 14e, tourne à droite.
Jack : Bien reçu.
16 :54 :47
Marika : C'est encore loin ?
Jack : Je continue à l'ouest sur R Street, on croise Hampshire Avenue.
Moss : Vous êtes à 1 km de la cible.
Jack : Bien reçu.
Chloé : La voiture tourne à gauche sur Connecticut.
Jack : OK, je contourne Dupont Circle. Agent Moss, y a-t-il quelque chose au nord qui indiquerait que Dubaku cache un avion ou un hélico ?
Moss : Rien de concluant. Il y a beaucoup trop de possibilités. Qu'est-ce que c'était ?
Chloé : On a un problème.
Jack : Quoi ?
Chloé : On les a perdus.
Jack : Quoi ?
Chloé : Je sais pas. Ça a sauté.
Renée : On peut pas les perdre. Je lui ai promis qu'on la protégerait.
Jack : Je sais. Chloe, retrouve-les.
Moss : On fait de notre mieux.
Chloé :Attends. C'est revenu.
Jack : C'était quoi ?
Chloé : Je sais pas. Je lance un diagnostic.
Moss : Ils vont vers le sud-est sur Massachusetts Avenue. Ils ne sont plus qu'à 800 m. Vous devriez vous éloigner un peu.
Jack : Bien reçu.
Chloé : oh non.
Moss : Quoi ?
Chloé : Quelqu'un était dans le système.
Moss : Quoi ?
Chloé : Quelqu'un dans ce bureau espionnait mon terminal. Et il savait ce qu'il faisait.
Moss : Vous pouvez le tracer ? Non. Le lien a été rompu. Ça peut venir de n'importe où.
Moss : Vous avez entendu ? On a une intrusion. Quelqu'un espionnait nos communications.
Renée : Jack, Ils viennent de tous les côtés.
Jack : Larry, on a un problème, ici.
Moss : Qu'y a-t-il ?
Jack : La police essaie de nous bloquer la route.
Moss : Quoi ? Pourquoi ils font ça ?
Jack : Je sais pas. Débarrassez-nous-en ! Faites quelque chose !
Moss : Passez-moi le centre de commande de la police.
-Mains en l'air !
Jack : Mon nom est Jack Bauer.
- Sortez de la voiture !
Jack : Mon passager est un agent fédéral.
- Sortez immédiatement ! À terre !
Jack : C'est un agent fédéral.
-Mettez les mains dans le dos.
Jack : Larry, faites quelque chose.
Moss : Capitaine, vous devez les relâcher immédiatement ! C'est une erreur. il n'y a pas de mandat fédéral contre eux !
Chloé : Si. Il y a un mandat sur la voiture. "Occupants armés et dangereux, à appréhender avec force."
Moss : Émis par qui ?
Chloé : Le FBI. Ce bureau. Il n'y a pas d'attribution, mais le code est bon. Ça a été fait par quelqu'un d'ici. La voiture de Marika va vers l'est sur N Street.
Moss : Écoutez-moi bien. Je suis le responsable de cette affaire, et je révoque ces mandats immédiatement. Je n'ai pas le temps de m'arranger avec vos chefs. Relâchez-les tout de suite !
16 :58 :07
Janis : Merci.
Sean : Alors, elle est là pour te remplacer ?
Janis : Je sais pas. Larry l'utilise pour une opération secrète avec Jack Bauer. Ils suivent une voiture.
Sean : Pourquoi ils ne nous disent rien ?
Janis : Je sais pas. Je sais pas, mais j'aime pas ça.
Sean : Je me suis occupé de Bauer et Walker. Ils sont immobilisés.
Burnett : Pourquoi suis-je averti à la dernière minute ?
Sean : Moss agit de sa propre initiative. Ça m'a pris du temps pour mettre son téléphone sur écoute. Il est avec la police.
Burnett : Pouvez-vous brouiller le signal qu'ils utilisent pour suivre la fille ?
Sean : Pas de ma console. Mais d'après la fréquence, ils utilisent son téléphone.
Burnett : D'accord. Bon travail.
Sean : Vous m'aviez dit que vous vous débarrasseriez de Dubaku. Pourquoi on l'aide encore ?
Burnett : Il a menacé de nous dénoncer. Il a une base de données avec les noms et les comptes de tout le monde.
Sean : Le mien aussi ?
Burnett : Tout le monde ! On ne sait pas où est ce dossier, priez pour qu'il s'en sorte.
Moss : Oui, c'est en rapport avec la menace terroriste de ce matin.
Burnett : Vous avez un problème.
Dubaku : Lequel ?
Burnett : Votre petite amie travaille avec le FBI.
Dubaku : Je vous crois pas.
Burnett : Ils lui ont dit qui vous êtes vraiment, il y a une demi-heure.
Dubaku : C'est impossible. Marika ne ferait jamais ça.
Burnett : C'est une information fiable de ma source au FBI. Elle les mène à vous en utilisant son téléphone comme mouchard. Ma source a ralenti leur surveillance pour un moment, mais vous devez vous rendre à l'aérodrome immédiatement. J'appelle mon chauffeur, il s'occupera d'elle.
Dubaku : Non. Je le ferai.
Burnett : Colonel, je vous ai dit, ils la suivent. Vous compromettez vos chances de vous échapper.
Dubaku : J'ai dit, je m'en occupe !
17 :00 :00