24 HEURES CHRONO
Transcript by Maluzo83 - Posted on Hypnoweb
Episode 712 : 19H00 PM - 20H00 PM
© Twentieth Century Fox Film Corporation.
LES ÉVÈNEMENTS SUIVANTS SE DÉROULENT ENTRE 19 H 00 ET 20 H 00
L'HISTOIRE SE PASSE EN TEMPS RÉEL.
PRÉCÉDEMMENT DANS 24
Jack : Pose ton arme. Maintenant !
Bill : Qu'est-ce que ça veut dire ?
Jack : Où est Burnett ? L'assistant de Mayer. Où est-il ? Tony a obtenu d'un contact des renseignements sur une seconde attaque. Ça va se passer ici à Washington dans l'heure. Des agents de Juma sont derrière. Burnett les soutient depuis le début. Il sait quand elle va avoir lieu, alors dis-moi où il est, ou je le trouverai moi-même.
Jack : Vous êtes un traître et un terroriste.
Burnett : Non, j'aime mon pays.
-M. Bauer, ici la présidente Taylor.
Jack : Où est la cible ? Où est la cible ?
Présidente Taylor : Ce que vous faites est contraire à la loi. Je vous ordonne de vous arrêter.
Jack : Où est...
Présidente Taylor : Emmenez M. Bauer. Il est en état d'arrestation. Vous auriez dû venir me voir. Vous auriez dû m'en parler.
Jack : Et cela aurait-il fait une différence, Madame ?
-Le colonel Dubaku est mort.
Juma : Laurent ne doit jamais l'apprendre, et la lâcheté de son père non plus.
Laurent : Aucun signe de mon père.Laissez-moi prendre sa place dans l'équipe d'assaut.
Juma : Tu parles comme un vrai Dubaku. Il est temps d'y aller.
Renée : C'est ça, pas de doute. Ils bougent.
Moss : Un idée de la cible ?
Renée : Non
Juma : De notre position, il y a environ 100 m jusqu'à l'entrée.
CES ÉVÈNEMENTS SE DÉROULENT ENTRE 19 H 00 ET 20 H 00.
Olivia : Je veux la voir tout de suite.
Pearce :Vous verrez la présidente dès qu'elle sera disponible.
Olivia : Dites-lui que j'en ai marre d'attendre. Je vais voir mon père à l'hôpital.
Pearce : Vous devriez parler à votre mère avant. La présidente a ordonné que vous restiez à la Maison Blanche.
Olivia : Si j'essaie de partir,vous vous interposerez physiquement ?
Pearce : Ça n'arrivera pas, Mlle Taylor, car je sais que vous respectez trop votre mère et son cabinet pour que les choses en arrivent là.
Olivia : Bien joué. Vous faites ça depuis longtemps.
Pearce : Cinq administrations.
Ethan : Olivia, votre mère m'a demandéde vous informer de la situation.
Olivia : Sauf votre respect, elle aurait pu choisir quelqu'un d'autre.
Ethan : Cette ville va subir une autre attaque terroriste. C'est pour ça qu'elle veut que vous restiez ici.
Olivia : D'autres avions vont s'écraser ?
Ethan : On l'ignore. Mais on sera fixés très bientôt. Je me rends au Pentagone.En plus de tout ça, nous devons gérer l'invasion. Alors, n'oubliez pas que votre mère est sous pression comme jamais.
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Présidente Taylor : Les médias vont remarquer le renforcement des mesures de sécurité. Je veux faire une déclaration avant.
-Minimiser le risque d'une attaque, dire que les mesures de sécurité sont de simples précautions...
Présidente Taylor : Le public mérite la vérité. Nous appellerons au calme, mais nous confirmerons avoir des infos concernant une autre attaque.
-Bien, Madame. Angela et moi préparons ça au plus vite.
Tim : Larry Moss en ligne. Il dit avoir une piste sur l'attaque.
Présidente Taylor : Passez-le-moi.
Tim : La présidente vous écoute.
Moss : Nous avons découvert ce qui aurait été une zone de transit utilisée par des terroristes sur la rive sud du Potomac, près du chantier naval. Nous avons identifié un des hommes comme étant le général Juma.
Présidente Taylor : Quoi ? Juma est à Washington ?
Moss : Oui. Il y a au moins une douzaine d'hommes impliqués dans l'attaque, et ils sont sur le sentier de la guerre.
Présidente Taylor : Vous avez des indices sur la cible ?
Moss : Non. Mais des équipes sont à leur recherche et nous espérons que l'agent Walker en sait davantage. C'est elle qui a identifié Juma, mais elle n'est plus joignable.
Présidente Taylor : Plus joignable ?
Moss : Oui, Madame, mais nous pensons qu'elle est à la poursuite des terroristes. Si elle y est, nous la trouverons.
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19H05
-Plus un geste !
Renée : Agent Renee Walker, FBI.
- On vous cherche.
Renée : Appelez Larry Moss au FBI. La Maison Blanche va être attaquée.
-J'appelle tout de suite. Ici Thompson...
-Thompson, répondez. Où êtes-vous ?
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Bill : Le procureur général demande ton transfert pour pouvoir t'inculper.
Jack : Du nouveau sur l'attaque ?
Bill : J'ai eu Tony. Il n'aura rien de nouveau de sa source. D'après le FBI, Renee Walker a suivi une piste qui l'a menée à un entrepôt désaffecté sur le Potomac. Elle a vu un commando surarmé dirigé par Juma en personne. Elle n'est plus joignable depuis.
Jack : Comment ça ?
Bill : Le FBI a fouillé la zone, mais aucun signe d'elle ni aucun indice sur la cible.
Jack : Burnett sait.
Bill : Taylor lui a proposé l'immunité. Il a refusé et n'a pas dit un mot.
Jack : Il parlait avant qu'on m'arrête. Laissez-moi 5 min avec lui et on pourra empêcher ça.
Bill : Même si je voulais te libérer, il est parti pour le Kennedy Memorial. Tu ne pourrais pas l'atteindre.
Jack : Alors, fais-le. Tu peux l'atteindre.
Bill : J'ignore tout des techniques de coercition.
Jack : Il n'y a pas de doute. Ryan Burnett est complice d'une attaque terroriste.Si tu le fais pas, des gens mourront.
Bill : Je sais ce qui doit être fait. Mais j'en suis incapable.
Jack : Bon sang, Bill. On peut pas en rester là. C'est toi qui disais que l'inaction était une forme de complicité. Tu peux le faire. Tu dois le faire.
Bill : Je ne peux pas, Jack. Désolé. Je ne peux pas.
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19H08
-On y est, général.
-On est de l'autre côté du conduit.
Juma : Tu es en position ?
-Oui, général. Je vous attends.
-À quoi tu joues ? J'ai cru t'entendre parler.
-Je parlais tout seul.
-Je t'ai dit qu'on invitait du monde, samedi ? Rien d'extraordinaire. On mangera chinois. Tu pourras te libérer, cette fois ?
-Chinois. J'espérais découvrir la cuisine de Sheila. Paré, général.
Juma : Excellent.
-La voie sera libre dans 10 s. Une fois entrés, on aura 2 min avant que les détecteurs se réactivent. Cinq, quatre, trois, deux, un...Allez-y !
-Je suis connecté au système de localisation.
Juma : Où est-elle ?
-Là, dans le bureau ovale.
Juma : Allons-y. RAS. Il y aura de la résistance, il faudra la contrer rapidement. En silence. On a 9 min avant le prochain contrôle radio. 9 min pour trouver la présidente.
19H16
-La présidente va faire une déclaration à ce sujet. Je vous contacte dès que c'est prêt.
Juma : Lâchez le téléphone.
-5 min avant le contrôle radio.
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Renée : Juma a fait tuer votre père.
Laurent : Quoi ?
Renée : Je sais que Dubaku est votre père. Juma vous a menti. Votre père est mort.
Laurent : Mon père est vivant !
Renée : Juma voulait être sûr que votre père ne parlerait pas. Il a envoyé un certain Udo l'assassiner.
Laurent : Je vous crois pas.
Renée : J'étais là quand Udo l'a tué. Je vous ai trouvés en le suivant jusqu'à l'entrepôt. Le général Juma vous a trahi.
Laurent : Vous mentez !
Moss : ça va ?
Renée : Je connais la cible.
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19H18
Bill :; Mandats à jour et ordre de transfert. Désolé.
-Par ici, M. Bauer.
Bill : allo !
Moss : D'après Walker, la cible est la Maison Blanche.
Bill : Le renseignement est sûr ?
Moss : Oui. Ils entreront par voie souterraine.
Bill : Je déclenche le bouclage. Alertez les unités d'intervention. Ici Bill Buchanan. La Maison Blanche est la cible d'une attaque terroriste. Code rouge. Mettez la présidente en lieu sûr. À vos postes. Jack, tu pourrais nous aider. Tu devras suivre mes directives.
Jack : Tu as ma parole. Où est la présidente ?
Bill : Dans le bureau ovale.
Présidente Taylor : Qu'est-ce que ça signifie ?
-La Maison Blanche est attaquée. Il faut partir.
Pearce : Nous devons y aller tout de suite.J'ai la fille de la présidente. Nous allons au bunker.
Bill : Les sorties sont bouclées. Il reste le bunker du rez-de-chaussée.
-RAS.
Présidente Taylor : Qu'est-ce qu'il fait là ?
Bill : Il est avec moi.
Jack : Vous avez besoin de toute l'aide possible.
Présidente Taylor : Où est ma fille ?
Jack : Aaron Pierce l'emmène au bunker. Il faut y aller.
Bill : Agents des zones cinq, sept et neuf, répondez. Cinq, sept et neuf, répondez.Personne ne répond dans le secteur.
Jack : Juma se dirige droit sur nous. Ils savent où elle est. Ils la pistent.
Bill : Donnez-moi votre bracelet GPS.
Jack : Le plus direct pour le bunker ?
Bill : Par l'est. Je vais les attirer vers l'ouest. Suivez Jack.
Jack : C'est votre maison, je vous suis.
-La présidente est conduite au bunker.Des agents sont touchés dans plusieurs secteurs. Nous avons besoin de renfort.
-Bien reçu. On prend la direction du bunker. Allons-y.
19H20
-La présidente a quitté le bureau ovale.Elle emprunte le couloir ouest.
Juma : Prends par là avec ton équipe. On va la cerner.
-On approche de la présidente. Juste devant, à l'angle.
Juma : Le GPS de la présidente. Ils savent qu'on est là.
-Ils emmènent la présidente au bunker.
Juma : Trouvez-la. Emmenez-le. Il nous faut des otages. Rassemblez-les. Allons-y.
-Nous avons engagé l'ennemi avant d'arriver au bunker. Aucun signe de la présidente. On est à 2 min du bunker.
-Debout ! Debout ! Bougez ! Allez !
Jack : Aaron, on approche du bunker. Où êtes-vous ?
Pearce : On est toujours à l'étage
-Allez ! Dépêchez !
Pearce : L'ennemi contrôle la zone. Je cherche un moyen de les contourner.
Jack : Entendu. Les hommes de Juma seront bientôt sur nous.
-Vous avez 30 s avant que je verrouille la porte.
Jack : Compris.
Présidente Taylor : Vous ne fermerez pas cette porte avant que ma fille arrive.
Jack : Que ça vous plaise ou non, votre vie est la priorité. Entrez. Madame la Présidente, vous allez bien ? Aaron, on est enfermés dans le bunker. On n'a pas eu le choix.
Pearce : Impossible de vous rejoindre, de toute façon. On cherche une sortie.
Jack : Vous me recevez ? Aaron, ici Jack. Vous m'entendez ? Bon sang. Juma brouille nos communications.
Présidente Taylor : Ma fille est en lieu sûr ?
Jack : Je ne peux pas vous répondre.
Juma : Abo.
- Général ! Leurs renforts arrivent. J'ignore combien de temps on pourra les retenir.
Juma : Ne quitte pas. Ngozi ?
Ngozi : Des agents arrivent de toute part. On va être dépassés.
Juma : Les services secrets savent que la présidente est dans le bunker ?
- Ceux qui l'ont vu entrer sont morts.
Juma : Je veux leur parler.
-Allez-y.
Juma : Ici le général Juma. J'ai la présidente. Évacuez immédiatement, ou elle mourra.
-Il me faut une preuve que vous l'avez pour donner l'ordre. Laissez-nous lui parler.
Juma : Qui êtes-vous ?
- Agent spécial Hovis.
Juma : Agent Hovis, évacuez vos hommes de l'enceinte et du parc, ou je tue la présidente. Et vous serez responsablede sa mort. Agent Hovis ?
Hovis : On se replie. À tous les agents, repli immédiat ! Je répète : repli immédiat.
-Ils évacuent. Ils se replient.
Juma : Tous ?
- Oui.
Juma : Rassemblez les otages et amenez-les ici. Verrouillez les sorties. Allez. Les services secrets ont évacué le secteur ouest.
-Bien reçu, général.
19H25
Pearce : S'ils évacuent, c'est qu'ils croient que Juma détient la présidente.
Olivia : Mais Bauer a dit qu'il avait conduit ma mère dans le bunker.
Pearce : Juma les a bluffés. Il faut sortir les prévenir rapidement pour qu'ils reprennent le bâtiment.
Olivia : Sortir ? Comment ? Ils sont partout.
-Allez ! Les mains sur la tête. Allez ! Sortez de là. Par ici. Avancez. Allez ! Tout le monde à terre ! Allez ! À terre ! Retourne-toi.
Juma : Tu peux l'ouvrir ?
Ngozi : Si Hodges nous a donné les bonnes caractéristiques.
Juma : Ça va être long ?
Ngozi : 15 minutes.
19H31
Hovis : On les a attaqués dans un couloir du rez-de-chaussée. Là, Juma nous a ordonné de battre en retraite, menaçant de tuer la présidente si on n'obtempérait pas.
Moss : Il n'a pas donné de preuve visuelle qu'il la détenait ?
Hovis : Non, mais j'ai pensé qu'on n'avait pas d'autre choix que de se replier. Ses hommes tuaient tout le monde.
Moss : Combien de personnes à l'intérieur ?
Hovis : En recoupant ceux qu'on a évacués avec le registre des présents, ça fait 53.
Moss : Des agents ?
Hovis : À ma connaissance, aucun des agents sur place n'est en vie. Les unités de secours se mettent en place. Elles seront prêtes pour l'assaut dès qu'on en aura l'ordre.
Moss : Oui, mais cet ordre doit être donné par le vice-président. Où est-il ?
Hovis : Les services secrets l'emmènent dans un endroit sûr.
Moss : Prévenez-moi quand il sera en sécurité. Hovis, il me faut un scan infrarouge du bâtiment. La meilleure résolution possible.
Hovis : Compris.
Renée : Tu m'as pas dit que Jack était à la Maison Blanche.
Moss : Il était en état d'arrestation et surveillé quand l'attaque a eu lieu.
Renée : Arrêté ?
Moss : Il a découvert que l'assistant de Mayer faisait partie de la conspiration. On l'a arrêté alors qu'il le torturait à la Maison Blanche. Il l'avait presque tué quand on l'a arrêté. Renée, le président est notre priorité, pas Jack Bauer. C'est clair ?
Renée : Oui.
Moss : Sûre ?
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Présidente Taylor : Ils ramènent d'autres otages.
-À terre ! Entrez ! Assis ! Taisez-vous ! Silence !
Présidente Taylor : Je ne vois pas Olivia.
Jack : C'est bon signe. Je connais Aaron Pierce. Il fera tout pour protéger votre fille.
Présidente Taylor : C'est la Maison Blanche, bon sang. Comment ont-ils réussi à contourner nos systèmes de sécurité ?
Jack : Il n'y a qu'une seule explication : une taupe les a aidés.
Présidente Taylor : Qui ? C'est de la folie. Juma doit savoir qu'il n'a aucune chance de s'en sortir vivant.
Jack : Je crains que oui. C'est sa dernière carte. Il veut passer son message et est prêt à mourir s'il le faut. Quand les unités vous sauront en sécurité, elles attaqueront. Ce n'est qu'une question de temps.
Présidente Taylor : Que fait-il ? Ce sont des explosifs ?
Jack : Non. Mon Dieu. Ils ont les codes d'accès. Je dois ouvrir ce boîtier.
Présidente Taylor : Je peux faire quelque chose ?
Jack : Oui, apportez-moi cette boîte à outils. Posez-la sur la table. Bon sang. Branchez la prise, s'il vous plaît. Vite !
Ngozi : Général.
Juma : Qu'y a-t-il ?
Ngozi : Il s'est coupé. Ils ont dû désactiver le circuit de l'intérieur.
Juma : On va détruire la porte avec du C4.
Ngozi : Il faudrait percer à travers les 11 verrous. Ce serait trop long. Suivant la résistance de l'acier, le C4 pourrait être inefficace.
Juma : Alors, on trouvera un autre moyen. Le doute n'est pas permis. Nous avons piégé la présidente. Si on ouvre cette porte, on entrera dans l'histoire. Nous trouverons un autre moyen.
- Un appel sur la ligne dédiée.
Hodges : J'ai entendu.
-C'est lui, monsieur.
Hodges : Mettez-le sur haut-parleur. Général, je ne m'attendais pas à vous avoir en direct. Que puis-je pour vous ?
Juma : Nous avons un problème. La présidente est à l'abri dans un bunker.
Hodges : Vous étiez préparé à cette éventualité. Nous vous avons fourni les codes d'accès.
Juma : Ils ont court-circuité le mécanisme de l'intérieur. Trouvez-moi un autre moyen d'entrer.
Hodges : Général, j'ai fait tout ce que je devais. Mon rôle est terminé.
Juma : Vous oubliez que vous n'avez pas reçu le chargement.
Hodges : Général, vous êtes un homme d'honneur. On a conclu un marché. Nous avons tenu notre engagement. Vous êtes dans la Maison Blanche. J'aimerais que vous respectiez le vôtre.
Juma : Je me fiche de ce que vous voulez. Aidez-moi, où je détruis le chargement avant que vous le receviez.
Hodges : Ne quittez pas. Seaton, qu'en pensez-vous ? Il peut faire ça ?
Seaton : Le chargement n'arrive au port que dans 2 heures. Ses hommes ont largement le temps de le détruire.
Hodges : Qui d'autre est dans le bunker avec la présidente ?
Juma : Mes soldats l'ont vue entrer avec un homme.
Hodges : Je suis en train de consulter le registre des présents, et selon lui, Olivia Taylor est dans le bâtiment avec vous.
Juma : La fille de la présidente ? Vous êtes sûr ?
Hodges : Leur système enregistre toutes les entrées et sorties. S'il dit qu'elle y est, elle y est. Trouvez Olivia Taylor, et vous forcerez la présidente à ouvrir la porte.
Juma : Votre chargement arrivera comme prévu.
Hodges : Vous voyez ? Le stress. Le stress... est l'engrais de la créativité. Jouons aux fléchettes.
Juma : La fille de la présidente est dans la Maison Blanche. Trouvons-la. Levez la tête. Montrez-moi vos visages.
19H35
Mayer : Que se passe-t-il, selon vous ? Je vous ai posé une question, M. Buchanan. Vous croyez que je me suis trompé, avec Bauer ? Que si je l'avais autorisé à torturer Ryan Burnett, tout cela aurait pu être évité ?
Bill : Ne pensez pas à ma place, Sénateur.
-Elle n'est pas là.
Juma : Va la chercher et ramène-la-moi.
Olivia : Qu'est-ce que vous avez vu ?
Pearce : La porte est gardée.
Olivia : Il doit y avoir une autre sortie.
Pearce : Ils surveillent les 3 seules issues. Les fenêtres sont scellées et renforcées, incassables.
Olivia : Il faut leur dire qu'ils bluffent, qu'ils ne détiennent pas ma mère.
Pearce : Notre seule chance est de faire passer un message par les fenêtres de la résidence.
Olivia : D'accord.
Pearce : Je vais vous laisser en lieu sûr. J'envoie le message et reviens vous chercher.
Olivia : Pas question que je me cache dans une conduite.
Pearce : Madame, c'est loin, et on rencontrera sûrement les hommes de Juma. C'est trop dangereux.
Olivia : Je m'en fiche. Je viens avec vous, ne discutez pas.
Pearce : On n'a pas le temps. D'accord. Restez derrière moi.
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19H45
Hovis : Agent Moss, les images satellites sont prêtes. On voit le groupe d'otages, mais on ne peut pas les dénombrer.
Moss : Ils ne peuvent pas augmenter la résolution ?
Hovis : Non. Le bâtiment est l'un des plus protégés au monde. Le vice-président est prêt. Ils installent la ligne.
Moss : Merci. Laissez-nous.
-Le vice-président est en ligne.
Moss : M. le vice-président, ici l'agent Moss, directeur du FBI à Washington. Voici l'agent Walker.
Vice-président : On m'a briefé sur la situation. Quelles sont les dernières nouvelles ?
Moss : Rien d'autre venant du général Juma, mais un scan infrarouge montre qu'il détient des otages dans un couloir, devant la chambre Roosevelt. C'est peut-être bon signe pour la présidente.
Vice-président : C'est-à-dire ?
Moss : Cette zone n'est pas la plus facile à défendre Ce n'est pas un choix tactique très sensé de la part de Juma. Mais c'est à côté du bunker du rez-de-chaussée, vers lequel la présidente se dirigeait.
Vice-président : Vous pensez que la présidente a atteint le bunker ?
Moss : Ça expliquerait pourquoi il se trouve là. Nous vous demandons donc d'autoriser la mission de sauvetage avant que Juma investisse le bunker.
Vice-président : Avez-vous d'autres preuves soutenant votre théorie selon laquelle la présidente est dans le bunker ?
Moss : Le fait qu'il n'a pas pu montrer la présidente quand on le lui a demandé.
Vice-président : Pas pu ou pas voulu ? Vous n'êtes pas sûr, n'est-ce pas ?
Moss : On ne peut être sûr de rien. C'est notre estimation de la situation et je vous prie d'autoriser l'assaut.
Vice-président : Et si vous avez tort ? Si Juma détient la présidente ? Il la tuera dès qu'il saura ce que vous faites.
Moss : Ne rien faire est tout aussi risqué. Plus Juma aura le temps de renforcer sa position, plus il sera difficile de reprendre le bâtiment et de sauver des vies.
Vice-président : Je comprends. Mais ma priorité reste la vie de la présidente. La prudence me dicte d'attendre, avant d'autoriser l'opération, qu'on soit certains de sa situation.
Renée : M. le vice-président, des terroristes contrôlent la Maison Blanche. La meilleure réponse est-elle la prudence, dans cette situation ?
Vice-président : Merci pour ces réflexions, agent Walker. Mais tant que je n'aurai pas plus d'infos sur ce qui se passe là-bas, vous avez ordre de vous abstenir de faire quoi que soit. Tenez-moi informé.
Renée : Tout ce qu'il veut, c'est se couvrir.
Moss : C'est le vice-président. Pour l'instant, c'est lui qui décide.
-C'était la bonne décision. Vous ne pouvez autoriser une opération qui tuerait la présidente et détruirait votre carrière. Ce serait politiquement indéfendable.
Vice-président : Que personne ne vous entende parler ainsi, Derek. Compris ?
- Oui, monsieur.
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Olivia : Mon Dieu, Aaron !
Pearce : Ils ont dû entendre les coups de feu.Vous allez devoir passer le message avant qu'ils arrivent. Il y a un kit de sécurité derrière la porte. Il contient une trousse de soins et une torche. Envoyez un message en morse par la fenêtre. Regardez dans ma veste, j'ai un stylo. Donnez-le-moi. Votre main. C'est le "Code Vert". Un point pour un court, un trait pour un long. Le "Code Vert" leur dira de lancer l'assaut. Allez-y !
-Général Juma, j'ai la fille de la présidente.
Juma : Amène-la-moi.
-Emmenez-le.
19H55
-« Des sources confirment que le siège de la Maison Blanche a commencé il y a environ 40 min. Nous n'avons aucune confirmation sur le nombre d'otages, ou si la présidente en fait partie. Derrière moi se trouvent des douzaines d'unités d'assaut en attente. Selon les analystes, l'autorisation pour lancer une éventuelle opération dans ces circonstances revient au vice-président. »
Ngozi : J'ai trouvé des caméras à fibre optique cachées dans le chandelier.
Juma : Apporte-moi une chaise.
- Oui, général.
Présidente Taylor : Il a vu les caméras.
Juma : Ouvrez une ligne sécurisée.
Ngozy : Allez-y, chef.
Juma : Présidente Taylor, je vois que vous nous avez observés. Bien. J'aimerais vous montrer autre chose.
Présidente Taylor : Mon Dieu, non.
Juma : Si vous n'ouvrez pas la porte, j'arracherai les yeux de votre fille, l'un après l'autre. Ensuite, je lui couperai la langue... et ensuite la tête.
Olivia : Maman, ne l'écoute pas !
Juma : Je sais ce que vous pensez. Si vous ouvrez la porte, est-ce que je la tuerai quand même ? Sachez que je la tuerai très certainement si vous ne l'ouvrez pas.
Présidente Taylor : Ouvrez la porte.
Jack : Madame...
Présidente Taylor : Ouvrez la porte !
Jack : Je ne peux pas !
Présidente Taylor : C'est ma fille, là dehors ! Vous comprenez ? J'ai déjà perdu mon fils. Vous savez ce que c'est, que de perdre un enfant ?
Jack : Je suis vraiment désolé, mais je ne peux pas vous livrer à eux. Vous ne pouvez rien faire pour elle.
Présidente Taylor : Vous avez des enfants ?
Présidente Taylor : J'ai une fille. Vous feriez ce que vous me demandez ? Rester là et la regarder se faire massacrer ?
Jack : Mais je ne suis pas le président des États-Unis.
Présidente Taylor : Je suis la présidente. Et je vous ordonne d'ouvrir cette porte.
Juma : L'heure tourne.
Olivia : Maman...
Juma : Peut-être que ça aidera ta mère à se décider plus vite.
Olivia : Maman, tu n'aurais pas dû...
Présidente Taylor : Je ne les aurais pas laissés te faire du mal, chérie.
Mayer : Bon sang, Bauer. Qu'avez-vous fait ?
Présidente Taylor : Très bien, général. Vous me tenez. Vous n'avez plus de raison de retenir les autres. Laissez-les partir.
Juma : Vous n'avez pas d'ordres à me donner. Préparez les caméras pour sa déclaration.
Présidente Taylor : Quelle déclaration ?
Juma : La dernière que vous ferez jamais.
20H00.