24 HEURES CHRONO
Transcript by Maluzo83 - Posted on Hypnoweb
Episode 719 : 02H00 AM - 03H00 AM
© Twentieth Century Fox Film Corporation.
LES ÉVÈNEMENTS SUIVANTS SE DÉROULENT ENTRE 02 H 00 ET 03 H 00
L'HISTOIRE SE PASSE EN TEMPS RÉEL.
PRÉCÉDEMMENT DANS 24
Renee : Appelez un médecin !
Dr Macer : C'est plus virulent qu'on pensait. On ne fait que masquer les symptômes.
Jack : Je comprends.
Dr Macer : Vous pourriez envisager autre chose.
Jack : Quoi ?
Dr Macer : Il faut des cellules souches génétiquement compatibles. Vous avez une fille.
Jack : Je ne veux pas la mêler à ça.
Kim : Papa. L'agent Walker m'a dit qu'il y avait une chance, une petite chance grâce à mon aide, et tu n'en veux pas ?
Jack : Je suis mourant. Cette chance de rémission, aussi infime soit-elle, n'équivaut pas à la douleur de te voir me regarder mourir.
Présidente Taylor : Hodges a 13 missiles Pythons armés avec l'agent pathogène. Si je ne rappelais pas les avions, il les lançait.
Jack : Tony Almeida est toujours à Starkwood. Il pense pouvoir accéder au dépôt de combustible et y poser des explosifs pour détruire les missiles.
Stockes : Tu crois faire quoi ?
Tony : Emmène-moi aux réservoirs.
Stockes : C'est trop tard.
Présidente Taylor : Jonas, nous avons détruit vos missiles. Vous êtes en état d'arrestation.
Hodges : Vous ne savez pasà qui vous avez affaire.
Présidente Taylor : De quoi parlez-vous ?
Hodges : Vous verrez bien.
-Agent Moss, ici Davis, à la porte annexe 6. J'ai arrêté un agent de Starkwood. Il avait une bonbonne.
Moss : Vous en êtes sûr ?
- Je l'ai en visuel.
Moss : Un agent de Starkwood a une bonbonne. Ferme tous les accès, alerte les unités à proximité et la police.
Renee : Janis ! Passe-moi la police.
Moss : Je prends l'hélicoptère. On y va ! Ça va je vais bien ! Tony ! Tony, Oh bon sang ! Oh...
CES ÉVÈNEMENTS SE DÉROULENT ENTRE 2 H 00 ET 3 H 00.
- Oui ?
-Patricia, c'est Matt. Je viens d'avoirles services secrets. Tu entreras dans la Maison Blanche par l'entrée sud. Tu y seras quand ?
Patricia : D'ici une demi-heure. Pourquoi Hodges a été arrêté ?
Matt : Ils ne m'ont rien dit Il semblerait que Jonas discutait avec la présidente et ça a dérapé. Ensuite, il a exigé son avocat préféré.
Patricia : Je suis flattée. Je t'appelle dès que je lui ai parlé.
Matt : Merci beaucoup.
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Renee : Le suspect a été identifié. Une caméra l'a vu quitter la base avec un sac à dos.
Janis : Robert Galvez, à Starkwood depuis 2 ans, ex forces spéciales.
Renee : Transmets ça à Larry, qu'il connaisse sa cible.
Janis : Il ne répond pas.
Renee : Quand arrivent les renforts ?
Janis : Bientôt, mais les équipes de l'agent Park ont formé un périmètre de sécurité. La bonbonne est à l'intérieur du cordon.
Renee : Envoie une photo aux équipes tactiques et aux autres départements.
Janis : Ça marche.
Renee : Insiste sur Larry.
Janis : À toutes les unités, j'envoie une photo du suspect à tous les agents. Son nom est Robert Galvez. Il a un entraînement militaire approfondi, soyez prudents.
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Galvez : Almeida ?
Tony : T'es à l'abri ?
Galvez : Je me cache dans un entrepôt sur Jefferson. J'ai vu une patrouille. Faut que je bouge.
Tony : Fais pas ça. Le FBI a bouclé tout le périmètre. Et ils savent qui tu es.
Galvez : Comment ?
Tony : Ils ont une photo. Les équipes de recherche peuvent te reconnaître. Reste en position le temps que j'accède à leurs protocoles de recherche et je te sortirai de là.
Galvez : J'aurais pas dû t'aider.
Tony : Je te promets que la bonbonne que t'as volée pour moi vaut un tas d'argent pour mes employeurs.
Galvez : Ça m'aidera pas en prison.
Tony : Ferme-la et obéis. Veille sur la bonbonne, reste en position et attends mon appel.
Park : Deux agents à terre. Appelez l'équipe médicale. Almeida, vous m'entendez ? Que s'est-il passé ? Où est le suspect ?
Tony : Il nous a piégés.
Park : Par où est-il parti ?
Tony : Je l'ignore.
Janis : L'équipe tactique est sur les lieux.
Renee : On a localisé Larry ?
Janis : Pas encore.
Kim : Excusez-moi, agent Walker. Vous êtes occupée, je sais. Je vous dis au revoir.
Renee : Au revoir ? Où allez-vous ?
Kim : À Los Angeles.
Renee : Je ne comprends pas. Vous ne participez pas au traitement ? C'est sa seule chance.
Kim : Je le sais, et lui aussi. Mais elle est mince, et il pense que ça ne vaut pas le coup. Il veut mourir selon ses conditions.
Renee : Vous pouvez lui faire changer d'avis.
Kim : Vous devriez savoir qu'on ne peut pas lui faire changer d'avis.
Renee : Je suis désolée de vous avoir mise dans cette situation.
Kim : Ne le soyez pas. Je vous en suis reconnaissante. On avait beaucoup de choses à se dire. J'aurais voulu lui en dire plus, mais je ne veux pas le faire souffrir davantage.
Janis : J'ai l'agent Park au téléphone.
Renee : Je dois répondre.
Kim : Je comprends.
Renee : Bonne chance.
- Walker. Park ! L'agent Moss est mort.
Renee : Quoi ?
Park : Il a été tué par le suspect lors d'une embuscade. Le pilote aussi. Tony Almeida a été touché, mais il est en vie. Les médecins s'occupent de lui. Agent Walker ?
Renee : On a une piste sur Galvez ?
Park : Non, mais la zone est bouclée. Il ne doit pas être loin. On installe une base ici même pour coordonner les recherches. Quels sont vos ordres ?
Renee : Moi ?
Park : Vous êtes l'agent le plus gradé, désormais.
Renee : Maintenez le périmètre. Commencez à ratisser du sud au nord. Je rassemble une équipe et je vous rejoins.
Park : J'ai bien assez d'agents, votre présence ne sera pas nécessaire.
Renee : Si. Tenez-moi au courant.
Park : À vos ordres.
Janis : Larry ?
Renne : Il a été tué par le suspect.
Janis : Mon Dieu.
Renee : Informe la Maison Blanche. Dis au Dr Macer de déployer les unités de décontamination. Constitue une équipe qui ira avec moi.
Janis : Je suis vraiment désolée.
Renee : Il va falloir prévenir l'ex-femme de Larry. Ça ne devrait pas être moi.
Janis : C'est bon. Je m'en occupe.
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-On a vu la période allant de 8 h à 15 h, de la récupération du module à la capture de Dubaku. M. Bauer, vous voulez faire une pause ?
Jack : Non. On doit terminer tant que je le peux.
-D'après votre déclaration, vous avez appris à ce moment-là l'attaque imminente contre la Maison Blanche.
Jack : Tony Almeida m'a fourni l'info, mais on connaissait pas encore la cible.
-Qui était son informateur ?
Jack : Un mercenaire qu'il a interrogé.
-Almeida vous a donné un nom ?
Jack : Oui. Désolé. Cardiff. Il s'appelait Vincent Cardiff.
-Vous l'avez interrogé vous-même ?
Jack : Il est mort pendant l'interrogatoire de Tony, mais c'est lui qui nous a renseignés sur cette attaque. Mais on savait pas qu'ils visaient la Maison Blanche. On savait pas qu'ils visaient...
-Vous ne voulez vraiment pas faire une pause ?
Jack : Je radote encore. Je suis désolé.
-Voilà le fichier que vous avez demandé. Tom, on doit y aller. Agent Walker a nos objectifs.
Jack : Excusez-moi.
02H10
Renee : On ne va pas perdre le contrôle. Vous êtes fatigués, vous avez enchaîné les heures, mais je vous veux tous concentrés et vigilants si on veut le localiser et mettre la main sur la bonbonne. Lorsque je serai sur le terrain, toute information passera par Janis. Au travail. Adams, vos hommes avec moi. Je vous rejoins à l'héliport.
Jack : Renee ? L'arme nous a échappé ?
Renee : Elle est sous contrôle.
Jack : Attendez un peu. Dites-moi ce qui se passe.
Renee : Un agent de Starkwood, Robert Galvez, a volé une bonbonne. On l'a piégé dans un rayon de 1,5 km autour du site.
Jack : Larry est aux commandes ?
Renee : Il a été tué dans une fusillade.
Jack : Quoi ?
Renee : Tony est blessé. Il est sur place avec les renforts.
Jack : Larry est mort ?
Renee : Deux agents sont morts. Oui. Je dois y aller.
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-Quelle chance. Un peu plus et la balle touchait votre artère splénique. Faites-vous examiner à l'hôpital.
Tony : J'ai pas le temps.
- Je vous apporte un antalgique.
Tony : Non, je dois garder les idées claires.
Park : Unité 9, ici le PC mobile, votre position ?
-Ici unité 9, grille sud-est 211 vérifiée. On avance.
Park : Bien reçu, unité 9. Unité 7, votre position ?
-On vérifie la 214. Rien pour l'instant.
Tony : Pas de traces ?
Park : N'ayez crainte. On le trouvera. Vous devriez vous reposer.
Tony : Merci. Ils fouillent le nord. La voie est libre sur Jefferson jusqu'à la 12e et la 13e rue. Ce sera le dernier endroit où ils chercheront. D'après leur avancée, t'as environ 30 minutes. Ça devrait suffire.
Galvez : Pour quoi ?
Tony : T'as toujours le C-4 ?
Galvez : Oui.
Tony : Trouve un bâtiment, un entrepôt, quelque chose d'assez grand à fouiller.Il faut en attirer le plus possible à l'intérieur, et le faire exploser.
Galvez : Je dois faire sauter une vingtaine d'agents du FBI ?
Tony : Ça te pose un problème ?
Galvez : Le périmètre est toujours bouclé. Je vois pas en quoi ça m'aidera à sortir de là.
Tony : Je m'en occupe.
Renee : Que faites-vous ?
Jack : Je viens avec vous.
Renee : Vous êtes malade.
Jack : Si ça perturbe votre opération, je me retirerai. Vous avez ma parole. On a pas de temps à perdre. Je ne sortirai pas.
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02H17
-Mlle Eames. Vous êtes l'avocate de Jonas Hodges.
- C'est exact.
-Nous vous attendions. Mettez votre pouce contre la vitre. Le sergent Cadden vous escortera vers la zone de détention.
-Merci.
Présidente Taylor : Comment est-il sorti de Starkwood avec une bonbonne ?
Olivia : Personne ne le sait. Mais il a déjà tué 4 personnes. Y compris Larry Moss. Le FBI l'a repéré à proximité d'un quartier résidentiel. Ils ont bouclé le secteur et font une recherche approfondie. Ce Galvez est un employé de Starkwood. Hodges y est forcément mêlé.
Présidente Taylor : Peut-être.
Olivia : Comment ça ?
Présidente Taylor : Pendant qu'on l'emmenait, Hodges a dit que ce n'était pas fini. Il parlait d'autres, se qualifiant de rouage d'une plus grande machine que je ne pourrais arrêter.
Olivia : Il était en colère.
Présidente Taylor : Ça ne veut pas dire qu'il mentait. On doit trouver ce que sait Hodges. Je veux que le FBI l'interroge.
Olivia : C'est un sociopathe. Il ne parlera pas. Il voudra marchander sa coopération. Tu ne penses pas...
Présidente Taylor : Olivia...
Olivia : Tu sais qui est cet homme, ce qu'il a fait à Roger.
Présidente Taylor : Amène-le au FBI.
02H19
-M. Hodges. Votre avocate est là.
Hodges : C'est pas trop tôt.
-On doit parler en privé.
Hodges : Vous êtes un peu plus grande qu'elle. Mais ça vous va bien.
-Bonjour, Jonas.
Hodges : Je ne vous demande pas comment vous êtes entrée. Mais j'aimerais savoir comment vous allez me faire sortir.
-Vous êtes dans une position délicate. Et vos agissements ont mis tout le monde dans cette position.
Hodges : Je vois. J'ai énervé le cartel, c'est ça ?
-Ils sont dans tous leurs états.
Hodges : Où étaient-ils quand le gouvernement a attaqué ma société ? Quand le Sénateur Mayer et sa bande d'assigneurs en justice essayaient de détruire tout ce que j'ai bâti ?
-On vous aurait protégés. Vous et Starkwood. Mais vous avez compromis le plan. L'arme biologique développée pour nous n'était pas pour un usage personnel. Ils pensent que vous avez eu une sorte... de choc psychologique.
Hodges : Ils se trompent. De votre part, ce n'est pas très réconfortant. Je veux leur parler. Trouvez-moi un moyen. Je veux leur parler.
-Il est un peu tard pour ça. Vous avez attiré l'attention en montrant votre jeu. En vous exposant. Vous comprenez sûrement qu'ils craignent que vous n'ayez exposé les autres également.
Hodges : Comment ? Je ne sais pas qui ils sont.
- Vous en savez assez et ils veulent une certitude. Vous admettez que votre famille n'a pas à payer pour vos erreurs.
Hodges : Vous êtes venue menacer ma famille ?
-Au contraire. Je suis venu garantir leur sécurité. Si vous faites ce qu'il faut. Ça provoquera un arrêt cardiaque et ne laissera pas de trace. Une mort digne et naturelle. Sans accusé, aucune poursuite ne sera possible contre vous et votre société, préservant une petite partie du service patriotique de Starkwood. Je sais que ça compte beaucoup pour vous.
Olivia : La fête est finie. On l'emmène au FBI.
-Mon client a invoqué le droit de se taire et d'être défendu. Personne ne lui parle sans que je sois là, compris ?
Olivia : Dans certains pays, il serait déjà mort. Emmenez-le.
- Oui ?
-Je lui ai parlé.
-Et ?
-Il semble avoir compris nos conditions. Le FBI va l'interroger.
- Ça posera un problème ?
-Espérons que ça le motive pour régler la situation au plus vite.
-Je serai content quand ce sera fini. Des nouvelles d'Almeida ?
-Il a appelé avant que je voie Hodges.
- La bonbonne est en sécurité ?
- Bientôt.
-C'est votre homme. Il ferait mieux de pas foirer.
-Tony a été le rayon de soleil de cette journée pluvieuse.Je sais qu'il y arrivera.
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02H23
-Tony : Oui ?
Galvez : J'ai trouvé un endroit. C'est un immeuble abandonné en bordure nord du périmètre. 1297 Rincon, à l'angle de la 12e.
Tony : Oui, je vois. Les équipes sont 3 secteurs au sud. T'as moins de 20 minutes.
Galvez : C'est pas assez.
Tony : Non, en effet. Tu ferais mieux de raccrocher et de t'y mettre.
Jack : J'ai perdu 2 partenaires d'affilée, au début. Je n'ai rien pu faire. Ça doit être pour ça que je travaille seul depuis 10 ans. C'est normal d'éprouver ces sensations. Et si vous n'y arrivez pas ce soir, c'est normal. Mais ne faites pas semblant de ne rien ressentir. C'est comme ça qu'on fait des erreurs.
Renee : S'il vous plaît, ne me dites ni ce que je dois ressentir ni comment.
Tony : Jack !
Renee : Où est-il ?
Tony : Par là.
Jack : Ça va ?
Tony : J'ai eu de la chance. La balle est passée à travers. Je pensais pas te voir ici.
Jack : Je ne fais qu'observer. Vous n'êtes pas obligée.
Renee : Montrez-moi.
Jack : Couvrez-le.
Tony : Je suis désolé pour Larry.
Renee : Comment c'est arrivé ?
Tony : Tout s'est passé très vite. On était encerclés avant de descendre de l'hélicoptère. Le pilote est mort en premier. Je n'avais pas d'arme, alors Larry m'a couvert Je me souviens pas trop, mais j'ai entendu une rafale. Larry a vu que j'étais visé, il s'est interposé et a été touché. Je me suis évanoui, Larry m'a sauvé la vie.
Jack : Il a été abattu par un gros calibre. Fusil à pompe, balle perforante. Tu as été blessé par un plus petit calibre.
-J'ai soigné M. Almeida. Sa blessure provient d'un 9mm.
Jack : C'était pas un .45 ?
-Peu de chances, l'orifice était trop petit. Pourquoi ?
Jack : Parce que vous avez trouvé des douilles de .45.
Tony : Galvez avait les armes qui étaient dans le véhicule volé au FBI. Il a dû en changer durant le combat.
Jack : Autant d'armes ? Dans l'intervalle que tu as décrit ? C'est impossible.
Renee : Qu'est-ce que vous suggérez ?
Jack : Il n'était pas seul.
Tony : Comme je l'ai dit, tout est allé très vite, mais... je ne pense pas. Mais ça tient debout.
Jack : Il n'était pas seul. Il a été aidé.
Renee : Je vais dire à Park d'alerter les hommes.
Jack : Tu es sûr que ça va ?
Tony : Je vais bien.
Jack : Bien.
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02H32
Kim : Je te réveille ?
-Pas après ce qui s'est passé aujourd'hui. Et ton père ? Mon coeur. Qu'est-il arrivé ?
Kim : Il va mourir, Stephen.
Stephen : Quoi ?
Kim : Quelque chose l'a contaminé. Un agent pathogène. C'est en rapport avec les attaques d'aujourd'hui.
Stephen : Kim, chérie, je suis désolé. Ils ne peuvent rien faire pour lui ?
Kim : Je rentre à la maison.
Stephen : Tu veux pas rester ? Tu ne veux pas être avec lui jusqu'à la fin ?
Kim : Ma présence, avec ce qu'il traverse actuellement, ne fera qu'empirer les choses.
Stephen : Tu lui as au moins... parlé de sa petite fille ?
Kim : Je ne pouvais pas lui dire que je n'étais pas la seule qu'il laisserait derrière lui. Lui parler de Teri aurait empiré les choses. Je vais essayer de prendre le 6 h 10. Si je l'ai, je serais rentrée à 9 h.
Stephen : Tu peux partir plus tard, si tu changes d'avis.
Kim : Non. Je vous aime.
Stephen : Nous aussi.
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02H34
-PC mobile, ici l'unité 9. RAS dans le 221.
Renee : Reçu, 9. Passez au 224.
-Bien reçu.
Jack : Pourquoi cette zone n'a pas été vérifiée ?
Renee : Unité 3, un problème avec la zone 219 ?
-On rencontre de la résistance de la part des habitants Ils n'aiment pas que l'on fouille leur domicile à 2 h 30 du matin.
Renee : C'est pour leur sécurité. Le complice de Galvez se trouve peut-être dans cette zone. Si ces civils vous gênent, arrêtez-les, mais vérifiez la zone. Compris ?
-Bien reçu.
Jack : Excusez-moi. C'est un antiépileptique. J'aurais dû le prendre plus tôt.
Tony : Qu'est-ce que tu fais là ? Pourquoi tu ne retournes pas au FBI te faire soigner ?
Jack : Il n'y a pas de traitement. Il n'y a pas de remède.
Tony : Attends. Pardon. Je ne savais pas. Pourquoi t'es sur le terrain ?
Jack : L'agent Walker vient de perdre son équipier. Je voulais l'aider. Je lui dois tellement.
-Agent Stoller à PC mobile. Code jaune.
Renee : Je vous écoute, agent Stoller. Vous signalez un code jaune ?
-Affirmatif. J'ai le suspect en visuel avec la bonbonne. Je répète, visuel confirmé du suspect et de la bonbonne.
Jack : Agent Park, je peux ? Agent Stoller, ici Jack Bauer. Galvez est-il accompagné ? Agent Stoller ?
- Négatif. Il est seul. Je répète, il est seul.
Jack : Bien reçu.
Renee : Où se trouve-t-il ?
-Il entre dans un immeuble abandonné à l'angle de la 12e et Rincon. Je le suis.
Renee : Gardez un visuel, attendez les renforts. Ne faites rien sans eux.
-Bien reçu.
Park : À toutes les unités, rendez-vous à l'angle de la 12e et Rincon. Suspect repéré dans un immeuble avec la bonbonne. Code jaune.
Renee : Agent Park ? Encerclez l'immeuble et couvrez les issues. Je veux des tireurs d'élite aux quatre coins. Jack ?
Jack : Je ne peux pas. Tout va bien, ça ira. Je reste ici, je supervise l'opération. Soyez prudente. Je suis sûr que Galvez a un complice. Couvrez vos arrières.
Renee : Allez, c'est parti.
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02H42
Hodges : "Hellfire." Vous avez servi avec la 27e au Pakistan.
-Deux fois, monsieur.
Hodges : Avez-vous rencontré des unités de Starkwood ?
-Il y avait une unité de protection attachée à mon commandant.
Hodges : Ils ont combattu avec vous ?
-Oui. Côte à côte.
Hodges : Soldat, comment jugeriez-vous leur professionnalisme, leur performance au combat ?
-Ils étaient bons. Bien entraînés.
Hodges : Merci, fiston. Ça me fait plaisir.
-Allons-y. On a ordre d'amener le prisonnier à l'entrée arrière du FBI. La Maison Blanche veut garder ça secret.
-Sergent !
-Ici le sergent Cadden. Le prisonnier fait une crise cardiaque. On l'amène à l'hôpital d'Arlington. Préparez une équipe d'urgence médicale.
02H45
Renee : Rassemblez les équipes.
- OK.
Renee : Agent Stoller, vous me recevez ?
-Je vous reçois.
Renee : Quelle est votre position ?
- Escaliers est, entre le 1er et le 2e étage. Le suspect est monté au dernier étage.
Renee : Savez-vous s'il est accompagné ?
-Négatif. Pas pour le moment.
Renee : Bougez pas. On arrive. L'agent Stoller situe le suspect au 2e étage. Mais rien ne prouve qu'il est seul. On suit le protocole, en vérifiant pièce par pièce. Il y aura 2 équipes, est et ouest. Vérifiez vos armes et vos oreillettes. On y va dans 60s.
Park : Vous avez entendu, venez avec moi.
Renee : Commandement mobile, ici Walker.
-Allez-y.
Renee : On entre. Préparez les équipes de décontamination en cas de besoin.
Tony : Tu tiens le coup ?
Jack : Ça va mieux. Excuse-moi.
-M. Bauer, ici l'agent Mizelli. Désolé de vous déranger, mais j'ai une question suite au débrief.
Jack : Vous tombez mal.
Mizelli : J'ai de nouvelles informations, et nous avons une incohérence.
Jack : Quelle incohérence ?
Mizelli : Le contact de Tony Almeida pour l'attaque contre la Maison blanche est bien censé être Vincent Cardiff ?
Jack : C'est exact.
Mizelli : Est-il possible que vous vous soyez trompé ?
Jack : Je ne pense pas.
Mizelli : Êtes-vous sûr ? Vous émettiez pourtant des doutes sur votre précision.
Jack : Un instant. C'est quoi, ici ? Je vais devoir vous rappeler.
-L'emplacement des émetteurs des agents.
Jack : En temps réel ? Mettez-les sur une carte.
- Ça va prendre une minute.
Jack : Faites-le.
Tony : Qu'est-ce qu'il y a ?
Jack : Je sais pas encore. L'émetteur de Stoller. Il n'est pas dans l'immeuble. Agent Walker, faites sortir vos hommes. C'est un piège !
Renee : Quoi ?
Jack : Stoller n'est pas avec vous. Sortez vite.
Renee : Code bleu. Je répète, Code bleu.
Jack : Un véhicule, vite !
-À toutes les unités, ici Park. Agents touchés à l'angle de la 12e et Rincon. On a besoin d'aide.
Jack : Négatif, ne suivez pas cet ordre. Maintenez vos positions.
Park : Pourquoi ?
Jack : Ils veulent affaiblir le cordon. Sans le périmètre, vous allez perdre la bonbonne. Vos hommes restent à leurs postes. Les médecins arrivent. Faites-les décoller !
02H52
Tony : Jack, j'y vais.
Jack ; Park ? Combien de disparus ?
Park : On compte encore. On était 30 avant l'explosion.
Jack : L'agent Walker ?
Park : Je sais pas.
Jack : Renee, ici Jack. Vous me recevez ? Vous me recevez ?
Tony : T'as la bonbonne ?
Galvez : Oui.
Tony : Montre. Vite, on doit dégager.
Jack : Renee ? Renee ? Ça va ?
Renee : Oui, mais lui ne respire pas.
Jack : Il nous faut un médecin ! Ils s'en occupent. Vous devez sortir. Maintenant.
Renee : Comment vous avez su ?
Jack : L'émetteur de Stoller n'était pas ici. Ils essayaient de nous disperser.
Renee : Le cordon a été rompu ?
Jack : J'ai donné l'ordre de ne pas bouger. Le périmètre est intact.
Renee : Ils devaient savoir. Ils ont eu le temps d'installer des explosifs. C'était le dernier secteur à vérifier.
Jack : Ils connaissaient notre grille ?
Renee : C'est obligé.
Jack : Mon Dieu.
Renee : Qu'est-ce qu'il y a ?
Jack : Je vous rejoins à votre véhicule.
- Je vous aide ?
Tony : Non, c'est bon. Ils ont besoin de vous, dedans.
Jack : Vous vouliez parler du suspect de Tony, Vincent Cardiff.
Mizelli : Merci d'avoir rappelé. Vous avez dit qu'il était mort durant l'interrogatoire ?
Jack : C'est ce que Tony m'a dit.
Mizelli : Ça ne peut pas être lui.
Jack : Pourquoi ?
Mizelli : Vincent Cardiff a été arrêté il y a une heure par les douanes à la frontière du Canada.
Jack : Vous êtes sûr ?
Mizelli : J'ai le rapport sous les yeux. Il est en vie.
Jack : Il portait des traces de l'interrogatoire ? De violences physiques, ou autres ?
Mizelli : Ce n'est pas noté. Je me demandais donc si vous auriez pu mal comprendre.
Tony : voilà !
Ambulancier : Je m'en occupe.
Tony : Merci.
Jack : Tony ! Il faut qu'on parle.
Tony : Bien sûr. Qu'est-ce qu'il y a ?
Jack : Je t'ai dit aujourd'hui que si tu me mentais, je te tuerais.
Tony : De quoi tu parles ?
Jack : Vincent Cardiff est mort durant ton interrogatoire ?
Tony : Et alors ?
Jack : Il se porte très bien, en détention. Et il ne porte aucune marque de violences. Explique-moi.
Tony : Je suis désolé, Jack. Cardiff savait qu'en me donnant l'info, on voudrait le tuer. Je lui ai offert un marché. Le FBI le croirait mort pour qu'il puisse disparaître. C'était qu'un petit mensonge.
Jack : Tu sais aussi bien que moi qu'il n'y a pas de petit mensonge. Quel est ton rôle ?
Tony : Tu divagues. L'info était bonne. T'aurais jamais pu sauver la présidente sans ça.
Jack : Quel est ton rôle ?
Tony : T'as pas l'esprit clair.
Jack : Et ta blessure ? Galvez a un complice, ou c'était toi ?
Tony : Écoute-toi parler. C'est du délire. De la paranoïa. Pose ton arme, OK ?
Jack : Pas un geste !
Tony : La toxine affecte ton jugement. Tu le vois bien, non ? C'est ça que tu cherches ? Je voulais pas te faire de mal. Je t'ai dit de pas t'en mêler. Mais t'écoute jamais. Il me faut de l'aide. Cet homme a une attaque.
-Reculez, s'il vous plaît. Prends mon sac et appelle le Dr Macer.
-Je ne vois rien. La blessure doit être postérieure. Tournez-vous sur le côté.
Galvez : Lâche ça, et conduis. Vite !
03H00